Eoin D. Fowl

ϟ Nom Prénom : Fowl, Eoin [Owen], Dagda
ϟ Avatar : Aidan Gallagher
ϟ Âge : 16 ans
ϟ Date & lieu de naissance : 21 décembre 1985
ϟ Statut de Sang : Sang-Pur
ϟ Espèce : Sorcier
ϟ Genre : Homme
ϟ Orientation Sexuelle : Non intéressé
ϟ Don(s) : Intelligence
ϟ Maison : Gryffondor
ϟ Année d'étude : 5ème année
ϟ Options : Etudes des Runes & Magie sans Baguette & Arithmancie
ϟ Langues parlées : Anglais (C2), Latin (C2), Grec Ancien (C2)



Caractère

Je suis, Eoin D. Fowl, une personne très déterminé. Mettons cela sur le compte d’une lourde hérédité, chargée de son lot de représentant plus ou moins admirables. Les Fowl ont toujours été des visionnaires, des personnes férues de pouvoirs de toutes sortes et des leader-nés. L’une des première règles, en politique, est de ne jamais dévoiler son jeu. Pour cela, je ne montre pas mes sentiments, et je préfère garder pour moi mes pensées. Je pense qu’on me décrira comme quelqu’un de solitaire, et  on n’aurait pas tort. Mais qui veut de la compagnie de mes semblables ? Des adolescents tout juste bon à se chamailler pour des futilités. Non, moi, j’ai de plus hautes aspirations que d’échapper à une heure de retenue car je n’ai pas fait un devoir. Je mets mon intelligence au service de la plus noble cause qui soit : moi-même.

Je m’ennuie extrêmement facilement. Je trouve que les cours dispensés à Poudlard sont, pour certains, d’une inutilité sans nom. Je connais déjà toutes les potions étudiées jusqu’à la septième année, voir un peu plus. Je peux réciter sur le bout des doigts la théorie des différents sortilèges et maléfices, et je ne me fais pas trop de soucis quant au fait de les pratiquer. Alors, en cours, quand je ne sèche pas tout simplement, j’offre un visage neutre à mes professeurs. Mais en dessous de ce masque, je réfléchis. Intensément. Si Poudlard ne m’offre que l’ennui en cours, je peux en profiter pour semer un peu de chaos… Trois fois rien, à vrai dire. Une explosion de Bombabouse, des feux d’artifices magiques à l’heure du déjeuner dans le Hall… Oh, bien sûr, certains professeurs me soupçonnent, mais ils n’ont rien de tangibles contre moi. Et même si ils avaient des preuves solides, qu’est-ce qu’ils pourraient bien faire contre le fils unique d'une Langue de Plomb ?

Physique

Je me maintiens dans une moyenne tout à fait acceptable, au niveau de mon physique. Je ne suis ni trop grand, ni trop petit, puisque j’avoisine les un mètre soixante-dix. Mes cheveux sont d’un brun communs, et mes yeux verts sont le plus souvent dissimulés derrière des verres teintés lorsque je sors dans la rue. Je suis sans doute un peu trop maigre, et pas assez sportif, mais qu’est-ce que cela peut bien faire ? Dans ce monde, on ne peut arriver à ses fins qu’en n’utilisant son cerveau. Le vrai fait notable, et que je ne peux pas dissimuler, c’est la pâleur de ma peau. À en croire Mère, c’est le résultat de mes nombreuses heures passées à étudier dans la bibliothèque familiale, au lieu de jouer dehors comme tout les autres petits garçons de mon âge. Pourtant, je pourrai remédier à mon manque de teint, à coup de Gallions et de rendez-vous dans un institut de beauté magique, mais je n’y tiens pas. J’aime cet aspect de ma personne presque autant que les costumes que je mets. Depuis tout petit – Sang-Pur oblige – on a pris l’habitude de m’habiller avec des costumes deux ou trois pièces, taillés sur mesure. Ma garde-robe ne compte que très peu de couleurs, allant du bleu très foncé au noir profond, en passant par le blanc de mes chemises. Et, contrairement aux autres garçons de mon âge, je n’ai jamais eu d’affection particulière pour les joggings ou autres baskets. Je me trouve plus à mon aise avec des chaussures ou des bottines de cuirs aux pieds



Histoire

Chapitre I : Le commencement

La famille Fowl est très ancienne, Sang-Pur depuis des générations. Originaires d’Irlande, nous avons migrés en Amérique du Nord lors de la Grande Famine du XIXème siècle. C’est mon grand-père qui retourna dans le Vieux Monde, pour y faire fortune. Contre toutes attentes, il ne s’est pas installé sur la terre de nos ancêtres, mais bien en Angleterre. Ma théorie est que Grand-Père était trop Américain pour reconnaître de nouveau l’autorité de la famille royale Irlandaise. Alors qu’avec la royauté britannique, il pouvait passé outre : après tout, les sorciers ne sont pas gouvernés par les Moldus, alors pourquoi s’embarrasser de têtes couronnées sans aucuns pouvoirs magiques ?

Les Fowl qui ont migrés étaient très riches, et ont fait fructifier ce patrimoine en se hissant dans les hauts rangs du MACUSA. Leur fortune à bien plus que doubler, voir même tripler. De retour en Angleterre, mon grand-père fit de larges profits en travaillant à Gringotts. Et au final, l’avènement des Fowl, notre retour à notre place originelle dans la société sorcière, se fit grâce à mon père. Par un habile mariage avec Mère, fille de l’ancienne secrétaire du Ministère de la Magie, il pût se hisser dans les hautes sphères du pouvoirs, jusqu’à être nommé Directeur du Département des Mystères. Le nom des Fowl restera à jamais gravé dans les mémoires grâce à Yoric L. Fowl.

Chapitre II : Le Milieu

Je suis donc né en Angleterre, faisant de moi la première génération Fowl anglaise (Père n'avait que quelques mois quand Grand-Père est retourné en Angleterre), et le futur héritier de notre empire. Très tôt, j’ai montré les qualités propres à ma famille : intransigeance, perfectionnisme, dédain pour autrui. Ce sont ces traits de caractères qui menèrent mes ancêtres, et ma famille, au plus haut dans ce monde. J’ai passé les onze premières années de ma vie dans le manoir Fowl, avec une seule occupation : les cours de mes précepteurs. Père engagea très tôt dans ma vie une ribambelle de nourrice, d’aide et de professeur particuliers. Je su lire à quatre ans, poser des soustractions à cinq. Et voler une baguette magique pour lancer un sortilège d’Aguamenti à six.

Malgré mes exploits, dans lesquels nous pouvons mettre avoir forcé à la démissions une bonne demi-douzaine de personnes, je n’eus pas de dérogation pour intégrer plus tôt le collège de Poudlard. Père en était furieux. Il me fit prendre d’autre cours de magie, plus avancé qu’on attendrait d’un enfant de moins de onze ans. Cela m’a encouragé à apprendre, de mon côté. Père a une collection assez impressionnante d’ouvrage sur la magie, mais aussi sur la psychologie. Et il n’y a rien de plus fascinant que de tourmenter et de manipuler les faibles d’esprit à part, peut-être, leur voler quelque chose. J’ai une fascination étrange pour tout ce qui est brillant, qui semble rare et cher. L’or, les pierres précieuses ou les œuvres d’art exercent un pouvoir sur moi, et je m’amuse à monter divers plans alambiqués pour entrer en leur possessions. Je pourrai les acheter, bien sûr, mais où serait l’adrénaline ?

Chapitre III : Et la Fin… ou pas

J’ai finalement reçu ma lettre pour Poudlard, en même temps que n’importe quel autre enfant. J’étais furieux, impatient et fébrile à la fois. Une seule pensée tournait dans ma tête : serais-je réparti à Serpentard, pour mon ambition, ou à Serdaigle, pour mon intelligence hors-norme ? Ma déception ne pouvait pas être plus grande lorsque j’entendis le verdict du Choixpeau : Gryffondor. Moi, à Gryffondor ? Que pouvait-il y avoir de bien à être courageux, ou téméraire ? Mais les règles du Choixpeau ne peuvent pas être changées, même à coup de Gallions. J’ai donc pris mon mal en patience. Les cours se sont révélés tout aussi décevant, alors j’ai décidé de marcher dans les pas d’un de mes ancêtres. Suileabhan  O. Fowl, de sinistre mémoire. Le pire chahuteur que connu le monde des sorciers. Quel dommage qu’il mourut à dix-neuf ans en voulant libérer un dragon sur le Chemin de Traverse. Me montrant plus intelligent que lui, je me spécialise notamment dans l’insubordination poli et sarcastique, et les pièges tendus dans le château. On s’amuse comme on peut, quant on est un Fowl.



La boite à questions

ϟ Une anecdote à nous partager ? Que pourrais-je raconter de plus à mon sujet ? Peut-être - et j'en suis fier - mon plus gros coup à ce jour. Il manque toujours une dizaine de couverts, d'assiettes et autres gobelets en or de Poudlard depuis que j'y suis. Et personne ne pourra jamais deviner qu'ils dorment sagement au fond de ma penderie, et encore moins que, chaque été, j'expose mes trophés dans ma chambre. Je pense même à pimenter le jeu, cette année : pourquoi pas tenter de subtiliser quelque chose venant de la Salle des Trophés ?
ϟ Quelles sont tes matières préférées à l'école ? Si cela peut être considéré comme une matière, tourmenter autrui. C'est plus un passe-temps, certes, mais je n'ai pas vraiment de matières préférées. Juste des matières où j'excelles, comme les Runes.
ϟ Quel est ton sortilège préféré ? Le Sortilège d'Imperium. Bien entendu, je ne l'ai jamais essayé.  Je ne suis pas stupide, je sais bien que je serai jugé comme un adulte par le Mangemagot si je le faisais. Mais, tout de même, pouvoir contrôler quelqu'un, c'est tellement fascinant...
ϟ Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? Je ne répondrais pas à cette question. Je n'admets pas l'échec. Ce sort est stupide, de toute façon. A quoi est-ce qu'il pourrait bien me servir ?
ϟ Quel est ton Epouvantard ? Assez ironiquement, ma pire crainte s'est réalisé lors de ma première rentrée à Poudlard : ne pas être à la hauteur de mon nom de famille. Le souvenir de l'enfant que j'étais prend forme dans mon Epouvantard, mais qui croiras que ça m'atteinds réellement ? Allons, un peu de sérieux, je suis Eoin D. Fowl, après tout.
ϟ Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? Elle est en bois de cyprès et contient une plume de phénix. Très fine, elle est aussi extrêment rigide. C'est un outil précieux dans ma quête pour semer le chaos.
ϟ Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ? Pétrichor, café noir et or. Celui qui a décrété que l'or n'avait pas d'odeur n'était qu'un imbécile (Vespasien, crois-je.)