Judas Arcangeli

ϟ Nom Prénom : Arcangeli, Judas
ϟ Avatar : Gavin Leatherwood
ϟ Signe-nom & Surnom : Citrouille
ϟ Âge : 17 ans
ϟ Date & lieu de naissance : 24 août 1984 & Sainte-Mangouste
ϟ Statut de Sang : Sang-Mêlé
ϟ Espèce : Sorcier
ϟ Genre : Homme
ϟ Orientation Sexuelle : Ne sait pas
ϟ Don : Legilimencie
ϟ Maison : Poufsouffle
ϟ Poste : Préfet-en-Chef
ϟ Année d'étude : 7ème année
ϟ Options : Études des Moldus & Soins aux Créatures Magiques
ϟ Langues parlées : Langue des signes (C2), Anglais (C1), Italien (A2)



Caractère

Je suis une personne plutôt calme et réservé, ce qui semble assez étrange lorsqu’on me regarde évoluer socialement. Depuis ma petite enfance, je suis entouré de personnes, que ce soit ma famille ou bien des camarades de l’école. Mais pourtant, je ne partages pas vraiment ce qui me passe par la tête. On pourrait même dire que c’est le contraire, car je suis quelqu’un de très à l’écoute. C’est sans doute pour cela que j’ai été nommé Préfet, puis Préfet-en-Chef. J’ai toujours aimé aidé les autres, c’est dans ma nature. Déjà tout petit, je voulais aider mes parents avec leur travail, bien que tenir un Night-club ne soit pas vraiment indiquer pour un enfant en bas-âge. C’est pour cela que j’ai été souvent garder par ma tante et mon oncle et, plus rarement, par mon grand-oncle. Au moins, je pouvais me rendre utile : avec ma tante, je pouvais faire à manger et m’occuper de leur chat (ou m’assurer que mon oncle n’oubliait pas de manger). Et puis, je jouais avec les jumeaux, je consolais Indiana qui se sentait laissé pour compte.

Malgré mon caractère calme, et aimant respecter les règles, je suis plutôt proche de mes camarades. Il faut dire que je suis connu pour mes décisions justes : je n’aime pas punir pour le simple plaisir de distribuer des lignes à copier. Comme tout bon Poufsouffle qui se respecte, je suis extrêmement loyal envers ma famille, ou mes amis. Je pense que ce trait est exacerbé chez moi, encore plus que chez les autres, à cause de ma volonté de vouloir faire le Bien, coûte que coûte. Pour moi, il est normal de traiter tout le monde sur le même pied d’égalité, je n’ai même pas à me forcer pour le faire. Je pense que mes parents et ma sœur ont parfois du mal à le comprendre, mais je ne leur en veux pas. Tout les êtres humains sont parfaitement imparfaits, à leurs manières. C’est pour cela qu’il faut toujours aimé son prochain.

Physique

Ma mère clame toujours haut et fort que je suis le portrait craché de mon père, et je ne peux pas démentir. J’ai vu des photos de lui à mon âge, et j’ai le même teint hâlé, les mêmes yeux bruns et la ressemblance nous pousse même à avoir les mêmes cheveux, noir de jais et bouclés. C’est bien simple, si on met deux de nos photos côte-à-côte, il n’y a qu’un seul moyen de nous différencier : l’attitude et le style vestimentaire. Mon père a eu une longue période où il ne s’habillait qu’en noir, habitude qu’il n’a pas vraiment perdu puisqu’il ne porte toujours que des couleurs très foncés, alors que je préfère avoir des vêtements plus clairs et disons… plus classiques. Même si je ne vois aucun inconvénient à porter un uniforme à Poudlard, je ne pousserais jamais le vice en portant chaque jour un costume trois pièce comme mon père ! Je suis aussi légèrement plus grand que lui, d’un petit centimètre, ce qui me fait atteindre les 1m73. Mon père dit souvent qu’il s’est tassé avec l’âge, mais je ne le crois pas vraiment. Il y a aussi une chose qui ne change jamais dans mon apparence : j’ai toujours autour du cou, caché par mes vêtements, une petite croix d’argent, que l’on m’a offert pour mon baptême, à mes six ans.



Histoire

Chapitre I : Avant d’être Judas Arcangeli

Je suis né un 24 août, à Londres, enfant pas vraiment prévu de Matthew Arcangeli et d’April-June Gold. Tout les deux étaient très jeunes, et au début de leurs carrières : mon père venait d’ouvrir depuis peu son Night-club, le Lussuria, et April-June commençait à être un peu connue. Je n’ai jamais bien compris pourquoi, d’ailleurs, car elle n’avait rien d’exceptionnel. Il a été décidé que ce serait elle qui aurait ma garde, mais que mon père me rendrait quelque fois visite. J’ai donc vécu deux ans et demi en plein coeur de Londres, avec une femme que je ne voyais presque pas. Les personnes s’occupant de moi changeaient trop souvent pour que je m’attache à l’une d’entre elles. Souvent, elle faisait les frais du mauvais caractère d’April-June, qui aimait renvoyer ses employés dès que quelque chose n’allait pas comme elle le voulait. Pour ne rien arranger, j’ai commencé à développer un asthme assez sévère dès mes premières années de vie.

Contrairement à ce qu’il avait été convenu à ma naissance, mon père n’est jamais venu me voir. À vrai dire, avant mes deux ans et demi, je ne savais même pas que j’avais un père. Ce n’est pas comme si il m’avait complètement oublié, mais April-June lui rendait les choses impossibles pour juste passer une heure avec moi. Je ne lui trouve pas d’excuse, mais il était très jeune à l’époque. Je peux comprendre qu’il se soit découragé, et qu’il s’est dit que tout était mieux ainsi. Une vie comme la sienne, où il travaillait principalement de nuit, ne pouvait pas convenir à un enfant. C’est ce qu’il se répétait, il me l’a dit. Il m’a aussi dit que, comme il n’avait jamais aimé ses parents qui furent abusifs avec lui et sa sœur, il n’était pas prêt à prendre la responsabilité d’un enfant. Et si je le détestais ? Et si je lui en voulais ? Ajoutons à cela le stéréotype qui veut qu’un enfant en bas-âge soit toujours mieux avec une figure maternelle, et on obtient ma situation.

Chapitre II : Les nombreuses découvertes

Je pense que ma vie aurait pût rester ainsi pendant longtemps, si April-June n’avait pas été arrêté par la police Moldue. Oh, pour trois fois rien, possession de drogue pour son usage personnel. Ne rencontrant pas le succès chez les sorciers, elle est allée voir ailleurs, et comme ça n’allait pas assez vite à son goût, elle a pris les devants… Apparemment, toute presse est bonne à prendre. Ce sont donc des policiers Moldus qui m’ont confié à mon père, pour le temps du procès. Je ne sais pas qui fut le plus choqué : les policiers trouvant un gamin tout seul dans un appartement, ou mon père me rencontrant enfin.

Les choses se sont plutôt bien arrangées, au final. Mon père a pris les choses en main : il a aménagé la maison qu’il partageait avec sa petite-amie de l’époque pour m’y faire une place. Je suis resté chez ma tante durant les travaux, faisant la connaissance de mes cousins : Esteban et Zia, qui avait mon âge, et Indiana qui n’était encore qu’un tout petit bébé. La période de mon emménagement à Hertford est assez floue, mais je sais que je n’avais jamais été aussi heureux de ma vie. Toute la famille s’est mobilisé pour une des plus gros problème, chez moi : ma santé. En plus de l’asthme, je cumulais un nombre assez vertigineux d’intolérances et d’allergies. La liste serait trop longue pour tenir ici. Mais, même si c’est pour une raison assez triste, pour la première fois de ma vie, on s’occupait de moi. Celle qui était la plus présente était la petite-amie de mon père, que je n’ai pas tardé à appeler Maman. C’est elle qui, en premier, à compris que je pouvais utiliser une certaine forme de Legilimencie. Je ne devais pas avoir plus de sept ans, lorsque ce don s’est manifesté. Je parlais avec ma sœur, en lui projetant mes émotions et mes sentiments, et je pouvais sentir les siens. Inconsciemment, je le faisais aussi avec mon père, mais il n’a jamais semblé s’en rendre compte.

Chapitre III : Et Après

Comme je l’ai déjà dit, tout est un peu flou. Je sais que j’ai rejoint l’école primaire très tôt, peut-être même avant mes trois ans. Je pense que le fait que ma tante soit la Directrice y est pour quelque chose. J’ai aussi été inscrit à Poudlard dans la foulée, mon père a obtenu ma garde entière par un miracle inexplicable, et ma mère m’a adopté. Je passais mes journées entre l’école, les après-midi avec mes cousins, et quelques cours de Legilimencie avec mon Grand-Oncle. Très tôt, mes week-end furent consacré par deux choses : le piano, et l’Église. Mon père n’était au début d’accord pour ni l’un, ni l’autre. Pour le premier, j’ai compris que c’est parce qu’il avait honte d’aimer un instrument que ses parents avaient choisi pour lui, sans aucune consultation. Pour l’autre… c’est à peu près la même chose. Mais j’étais très déterminer : à trois ans, j’ai eu mon premier piano, à six ans, mon père a enfin accepté que je me fasse baptisé dans l’église protestante qu’il fréquentait.

Il y a quelque chose que j’ai oublié de mentionner. Lorsque j’ai débarqué chez mon père, ma mère était déjà enceinte. De ma petite sœur, Lilith, un petit Trésor. J’ai toujours été très proche d’elle, prenant vraiment à coeur mon rôle de modèle. Je ne connais pas de personne plus gentille et compréhensive que ma sœur, dans l’intimité. Une autre petite cousine est venue agrandir notre famille : Enola. Je me suis toujours senti proche d’elle, sans vraiment mettre le doigt sur le pourquoi. Je n’ai pas besoin de communiquer avec elle pour savoir comment elle se sent, ni ce qu’elle pense, et je sais que la réciproque est tout aussi vrai. Cela n’a rien à voir avec la Legilimencie, pourtant. C’est plus profond que ça. Quand je lui en ai parlé, elle m’a dit penser que c’était nos handicaps, notre état de santé qui nous rapprochait. J’ai hoché la tête, je n’ai même pas signer. Enola a cette capacité à me faire presque oublier que je suis muet.



La boite à questions

ϟ Une anecdote à nous partager ? Mes parents m'ont laissé choisir le signe-nom de ma  petite soeur, et n'ont jamais remis en cause mon choix. Pour notre famille, Lilith Arcangeli est connu sous le nom de Trésor.
ϟ Quelles sont tes matières préférées à l'école ? Les sortilèges informulés, même si on n'a commencé à les étudier que l'année dernière. Je n'ai jamais eu de notes exceptionnelles, j'ai même eu du mal à apprendre à lire. J'ai obtenu 11 BUSES, mais la plupart de mes mentions étaient Acceptable. Pourtant, j'ai toujours sût lancer mes sortilèges de manières informulés, c'est le plus naturel pour moi.
ϟ Quel est ton sortilège préféré ? Wingardium Leviosa. Classique, mais j'ai toujours aimé l'utiliser pour divertir les enfants.
ϟ Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? Non, je n'y arrive pas encore. Ma baguette crachote bien de la fumée blanche, mais c'est tout ce que je peux obtenir. Le professeur m'a expliqué que le sortilège de Patronus est compliqué à maîtrisé, et encore plus en tant que sortilège informulé.
ϟ Quel est ton Epouvantard ? Un chien - je ne souhaite pas vraiment m'étendre sur le sujet.
ϟ Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? J'ai acheté ma baguette magique avec ma mère, le jour de mes 11 ans. Elle est en bois de sycomore, avec un coeur en  plume de phénix.
ϟ Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ?La tarte à la citrouille de ma pâtisserie préférée, le pumpkin spice latte au lait d'amande et le vent de l'automne. J'ai un gros faible pour les odeurs qui me rappellent cette saison.


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