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The great departureSamedi 1er septembre 2001Je n’arrive pas à croire que ça fait déjà dix jours que je suis en Angleterre. C’est bizarre, mais avant de m’y trouver, je n’avais même pas remarqué à quel point tout ça m’avait manqué. Même le ciel gris… ! Et si revoir mes meilleurs amis me rendaient un peu fébrile au début, ça c’était parfaitement bien passé. Au final, ils n’ont pas vraiment changé. Alice est toujours aussi cool, voir plus. Et tellement belle en plus, même si elle l’était déjà à onze ans. Ce qui était le plus choquant, c’était que Hermione commençait à courir dans nos pattes, et à parler, et parler, et parler… Elle parlait plus que moi à son âge, non ? Sans oublier le fait que le ventre de Juliette m’avait fait ouvrir des yeux ronds la première fois que Papa m’avait amené au Pays des Merveilles. Il avait oublié de me prévenir qu’elle était enceinte. Ça fait parti des choses qu’il oublie souvent de dire : les choses basiques et importantes. Comme le fait que j’allais faire le voyage en train toute seule, pendant que lieu serait déjà à Poudlard. Enfin bref… Pour revenir à mes meilleurs amis, celui qui n’avait pas changé d’un poil de Fléreur, c’était bien Ezra. Il avait l’air même encore plus timide qu’avant, si c’est possible ! Comment est-ce qu’il a pût devenir Préfet, je me demande vraiment.

Un autre vrai problème est apparu alors que je montais dans le Poudlard Express. Déjà, je trouve qu’on en fait beaucoup pour ça. Ce n’est qu’un train vintage, franchement. Peut-être que si on le rénovait un peu, ou avec une autre peinture que ce rouge sombre… Enfin, le vrai problème donc, c’est que je ne savais pas où aller. Alice était avec ses amies, et hors de questions de m’incruster chez les sixièmes années et d’être la bête curieuse de service. J’allais déjà assez attiré l’attention, et pas de la bonne manière, en étant répartie, alors merci bien ! Ezra a toujours été mon plan de secours, mais pas cette fois. Il devait aller sous-disant dans le compartiment des Préfets… Alors j’en étais toujours là, à jeter des coups d’œil dans les compartiments pour évaluer où il était le moins dangereux de m’asseoir. J’avais juste à choisir le compartiment des mauvaises personnes, et ma réputation serait déjà fichue avant d’avoir mis un pied à Poudlard ! Au bout du quatrième compartiment, je m’engouffra quand même par les portes. Il n’y avait qu’une fille, toute mince, et qui lisait. Elle avait peut-être quoi, un ou deux ans de moins que moi ? En tout cas, c’est la moins dangereuse des personnes que j’ai vu jusqu’ici. Entre le groupe de première année complètement paumé et les personnes plus âgées qui s’amusaient avec leurs baguettes magiques, le choix était vite fait ! « Salut. Je peux m’asseoir ici ? Il n’y a pas vraiment de place ailleurs. » Bien sûr que c’était pas vrai, mais enjoliver la vérité pour que ça serve mes intérêts, ça ne fait pas de moi une menteuse ! « Je m’appelle Sara, et toi ? »
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The Great Departure Avec Sara Horiuchi Samedi 1er septembre 2001

Madre n'a jamais été quelqu'un de calme. Au contraire, elle est tellement famille que chaque évènement lui fait péter un plomb. Elle adore organiser, préparer, recevoir. Déjà, tous les ans, la famille est invitée à Noël. Puis au Nouvel An. A chaque changement de saison, elle aime préparer un grand repas -encore plus grand que ses repas habituels. Et tous les étés, elle organise une grande fête de famille dans le jardin. Papa dit que ça lui donne une excuse pour ne pas cuisiner pour 10, mais pour 50. Je ne parle même pas des anniversaires de chacun ! A chaque fois qu'un évènement est passé, elle s'occupe déjà du suivant. La rentrée, c'est pareil. Tous les matins, elle organise un gigantesque dernier petit déjeuner en famille. La veille, elle repasse tous nos uniformes, et papa doit la retenir de faire nos propres valises. Et, sur le quai, elle donne mille recommandations à chacun. J'avoue que j'envie Indiana, qui a réussit à s'éclipser, quand elle me rappelle une nouvelle fois de bien prendre mes médicaments, de ne pas en faire trop, de bien me reposer, que si jamais je me sens mal, que j'aille bien à l'infirmerie, et que de toute façon, "on se revoit dans un mois pour ton rendez-vous chez le docteur MC". Je suis la seule de la famille à rentrer tous les mois pour ça.

Heureusement, quand le train siffle, papa la retient et l'empêche de parler pour qu'on se dépêche de monter dans le train. Il aide les jumeaux à monter ma valise, en plus de la leur, puis mes parents nous font de grands signes depuis la vitre. Une fois que Zia s'assure que je vais bien, les jumeaux rejoignent leurs amis. Comme je suppose que Indiana est déjà avec Arsène, je me mets à la recherche d'un compartiment. Toute cette agitation, et surtout celle de Madre, commencent à me donner mal à la tête, alors je suis contente de tomber sur un compartiment vide. Je m'installe confortablement et commence à sortir mon livre, Crime et Châtiment, un cadeau de mon grand-oncle Vladimir de fin de troisième année. Bien sûr, il me l'a offert en russe, pour que je puisse pratiquer. J'étais au milieu d'un chapitre très intéressant quand la porte du compartiment s'ouvrit. Je levais la tête, et vit une jeune fille aux traits asiatiques. « Salut. Je peux m’asseoir ici ? Il n’y a pas vraiment de place ailleurs. » Je souris, en posant mon livre à côté de moi. « Bien sûr ! »

« Je m’appelle Sara, et toi ? » « Enola Nightshade. » Je lui souris, sûrement en la fixant un peu trop. Je secouais la tête, et lui servis un sourire d'excuse. « Désolée si je t'ai mise mal à l'aise, mais… Ton visage ne me dit rien. Tu ne serais pas nouvelle, par hasard ? » Je savais que des élèves étrangers faisaient des échanges pendant un an dans un pays étranger, voir changeaient carrément d'école. Mon rêve était de partir, un an, dans une école étrangère. Pas à Durmstrang, parce que je parlais russe; ni Castelobruxo, parce que je parlais déjà espagnol, mais Beauxbâtons me semblaient pas mal du tout. Mais je savais que ma mère refuserait, paniquer de me laisser partir si loin et si longtemps. En échange, mes parents me promettaient de m'emmener à l'étranger une fois mes BUSE passées. « Je suis en 4ième année, à Serdaigle. Et toi, tu rentres en quelle année ? Tu viens d'où ? » Il est vrai que je n'avais jamais envisagé de partir à Mahoutokoro, mais finalement, ça me semblait être une bonne idée ? « Alors tu parles japonais couramment ? » Mes yeux brillaient à l'idée d'apprendre une nouvelle langue. J'avais pensé au français, mais le japonais offrait l'avantage d'utiliser des idéogrammes, et non pas l'alphabet latin, ce qui rendait ça compliqué mais intéressant !
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The great departureSamedi 1er septembre 2001J’ai un soupir de soulagement quand la petite fille pose son libre, et me souris en me proposant de venir m’installer dans le compartiment. Je me jetais sur la banquette, en regrettant qu’elle ne soit pas un peu plus neuve et… classe. Alice m’avais déjà parlé du train qui reliait Londres à chez ses parents, et ça avait l’air d’un tout autre standing ! Le fille avec moi s’appelait donc Enola Nightshade. Un prénom et un nom de famille bien anglais, pour ce que j’en savais. Je me demandais en quelle année elle était, en la dévisagent moi aussi de mon côté. Mais c’est elle qui repris la parole en premier. « Désolée si je t'ai mise mal à l'aise, mais… Ton visage ne me dit rien. Tu ne serais pas nouvelle, par hasard ? » Et voilà, les ennuis commençaient déjà. Au moins, Enola avait l’air toute mignonne et inoffensive, c’était déjà ça de pris ! « En fait… oui. » Même si elle semblait toute chou, la conversation commençait à devenir un peu malaisante. Comment est-ce que j’étais censé continuer, est-ce qu’elle ne voulait pas plutôt lire ? Et depuis quand les enfants étaient aussi à l’aise pour parler avec les adolescents ?

« Tu es en quelle année ? » Je m’aventurais sur un terrain plutôt connu, ce n’était pas une question très personnelle et ça ne m’engagerait à rien. La dernière chose dont j’ai besoin, c’est d’une plus petite qui se colle à mes basques en début d’année ! « Je suis en 4ième année, à Serdaigle. Et toi, tu rentres en quelle année ? Tu viens d'où ? » Je regardais Enola avec des yeux ronds en calculant rapidement. Si elle était en quatrième année, ça voulait dire que… non, c’est pas possible. « On peut sauter des classes à Poudlard ? » Le choc m’a fait un peu oublier le tact, mais soyons honnête : je n’en ai jamais vraiment eu. « Non, mais c’est juste que tu as l’air… » J’agitais mes mains devant elle, en cherchant mes mots. « … vraiment jeune ? Tu as pas l’air d’avoir mon âge. Je rentre aussi en quatrième année. » Je haussais les épaules en regardant distraitement par la fenêtre, pour agir de manière décontractée et cool. « Je sais pas où je serais. Mon père m’a parlé en long, en large et en travers des Maisons. » Papa, Thomas et Pearl avaient même fait des pronostics sur ma future maison. Alice et Ezra les avaient sûrement rejoints. Moi, ça ne m’intéressait pas vraiment. Il faut bien avouer que ça n’a jamais eu de grosses importance, à Mahoutokoro ! « J’étais à Mahoutokoro, avant. L’école de magie japonais, je sais pas si tu connais. »  

« Alors tu parles japonais couramment ? » Je fixais Enola, un peu surprise. Elle avait l’air totalement emballée par cette idée, sans que je comprennes pourquoi. Peut-être le fait d’être bilingue était exceptionnelle pour elle ? « Heu… bah, oui. Mon père est japonais, alors bon, je n’ai pas trop le choix… » Je suis méchante avec lui, mais c’est vrai qu’il a été intransigeant dans mon apprentissage. Si je loupais un cours d’écriture, il fermait la réserve à bonbons quand j’étais petite. « Mais je suis anglaise. Je suis née ici, j’ai vécu à Londres jusqu’à mes neuf ans et j’ai la nationalité. » Et avant que d’autres questions d’ordre familiale ne fusent, je pointais du doigt la couverture du livre qui était à côté d’Enola. « Qu’est-ce que tu lis ? Je n’arrive pas à lire le titre, il est à l’envers. » Précisais-je en plissant inutilement les yeux.
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The Great Departure Avec Sara Horiuchi A peine j'avais dis à Sara mon année qu'elle me regarda avec de grands yeux. Je ne comprenais pas, jusqu'à ce que, une seconde après, elle me demanda : « On peut sauter des classes à Poudlard ? » Mes doigts se ressérèrent sur mon livre, sans que je ne comprenne pourquoi. « Je ne crois pas, non… En tout cas, ce n'est pas mon cas. Pourquoi, il y  a un problème ? » « Non, mais c’est juste que tu as l’air… » Je haussais les sourcils, en attente de sa réponse. « … vraiment jeune ? Tu as pas l’air d’avoir mon âge. Je rentre aussi en quatrième année. » « Oh ! » Je me tortillais, légèrement gênée. Je me savais petite et trop mince pour mon âge, mais ce n'était pas de ma faute. Depuis petite, j'avais un appétit d'oiseau, principalement à cause des médicaments. Mais je tus ce fait, et préférait demander : « Tu as une idée dans quelle Maison tu seras répartie ? » « Je sais pas où je serais. Mon père m’a parlé en long, en large et en travers des Maisons. » Son père alors connaissait le principe de Maisons… J'étais assez curieuse de son histoire. Mais je me tus, ne voulant pas être comme ma mère.

« Tu étais où alors avant ? » « J’étais à Mahoutokoro, avant. L’école de magie japonais, je sais pas si tu connais. » Cette information me mit des étoiles dans les yeux. Elle avait tellement de chance d'avoir pu visiter le monde ! Et alors que je me demandais si elle parlait japonais, elle confirma ce fait. « Heu… bah, oui. Mon père est japonais, alors bon, je n’ai pas trop le choix… Mais je suis anglaise. Je suis née ici, j’ai vécu à Londres jusqu’à mes neuf ans et j’ai la nationalité. » Je hochais la tête. « Je comprends ton sentiment. Ma mère est russo-italienne, mais elle a vécu toute son enfance en Italie, l'italien est sa langue maternelle. Du coup, avec mes frères et ma sœur, on le parle tous. Papa en est incapable, mais je sais qu'il est très fier de nous. » Sara finit par me désigner mon livre. « Qu’est-ce que tu lis ? Je n’arrive pas à lire le titre, il est à l’envers. » Je pris mon ouvrage, et lui montrait la couverture. « Le titre n'est pas à l'envers, il est écrit en russe. C'est Crime et Châtiment de Dostoïevski. Ça se prononce Преступление и наказание. » Face à son air étonné, j'haussais les épaules. « En fait, je parle plusieurs langues… » Gênée, je finis par tourner la tête vers la fenêtre. Apprendre des langues étaient ma manière d'oublier quand j'étais à l'hôpital, et c'est devenu une passion. Mais face à la curiosité de Sara, je finis par expliquer : « Je parle anglais, italien, et russe, qui sont mes langues maternelles. Mon père m'a fait apprendre l'espagnol, et le maya ancien, il est professeur et chercheur en histoire à l'Université Magique Supérieure. Ma grande-tante, qui est professeur d'Histoire de la Magie à Poudlard, m'a fait apprendre le latin et le grec. Et à l'école primaire, j'ai appris la langue des signes, que j'utilise régulièrement, comme c'est la langue maternelle de mon cousin. »
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The great departureSamedi 1er septembre 2001J’espère que la petite… heu, que la fille qui a apparemment mon âge n’a pas mal pris ma question. Ni le fait que j’ai ouvert grand les yeux en entendant sa réponse. C’est pas ma faute, aussi, elle est vraiment… minuscule. Et pourtant, je suis pas bien grande non plus ! Mais ça a à voir avec la manière dont je m’habilles, dont je me maquilles – j’ai noté qu’Enola, elle, n’avait aucune trace de maquillage sur son visage – et dont je parles. Bon, heureusement, on passe à un autre sujet et je peux enterrer ma bêtise sous un tapis imaginaire. La question des Maisons de Poudlard est assez épineuse mais bon, je finirai bien par me retrouver dans une ! Au fond, même si je déteste l’idée d’être coincée pour les quatre prochaines années sous le Lac, j’adorerai être à Serpentard. Juste pour Alice, c’est vrai… Pour ma défense, je connais pas grand monde à Poudlard ! C’est un peu ce que j’explique à Enola en lui parlant de mon ancienne école. Et je sais pas trop pourquoi, mais j’insiste sur le fait que je viens d’ici à la base. Enfin, que je suis anglaise quoi !

Alors que ma conversation s’essouffle – je commence presque à avoir chaud, à force de trop parler !   - je montre du doigt le livre abandonné sur la banquette. J’ai jamais été très attiré par les livres. Principalement parce qu’Alice en lit pas, et qu’Ezra en lit. Ça peut nous faire un bon point de départ pour que j’en apprenne plus sur Enola. À part qu’elle aussi est bilingue, mais en italien du coup. « Le titre n'est pas à l'envers, il est écrit en russe. » Pardon, en quoi ? « C'est Crime et Châtiment de Dostoïevski. Ça se prononce Преступление и наказание. » « Mais t’es pas bilingue italien, tu m’as dit… ? » Ou alors j’ai loupé une info ? Nan, c’est pas possible ça. Je sais que j’en ai pas l’air, mais je suis capable d’écouter quand même ! « En fait, je parle plusieurs langues… » « Et par plusieurs, tu veux dire plus que deux, hein ? » Bizarrement, elle tourne la tête, comme si j’avais dit quelque chose qu’il fallait pas. Encore une fois, c’est pas possible. « T’en parles combien alors ? C’est quoi ? » Et surtout, comment elle a eu la patience d’en apprendre autant. Je me souviens des après-midi où mon père me faisait copier des lignes et des lignes en japonais, l’horreur… ! « Je parle anglais, italien, et russe, qui sont mes langues maternelles. Mon père m'a fait apprendre l'espagnol, et le maya ancien… » Ah parce qu'il y a plusieurs types de maya, en plus ? Un seul, ça leur suffisait pas ?  « ...il est professeur et chercheur en histoire à l'Université Magique Supérieure. Ma grande-tante, qui est professeur d'Histoire de la Magie à Poudlard, m'a fait apprendre le latin et le grec. Et à l'école primaire, j'ai appris la langue des signes, que j'utilise régulièrement, comme c'est la langue maternelle de mon cousin. » « Comment ça peut être la langue maternelle de quelqu’un ? » C’est la première chose qui me traverse l’esprit et, comme d’habitude, j’ai pas réfléchi avant de parler. « Mais du coup, t’as une sorte de super-intelligence ou un truc comme ça, pour avoir appris tout ça ? » Je m’étais peut-être retrouvé avec la Miss Je-sais-Tout de l’année… Et si c’était pour ça qu’elle était toute seule ? « Ton cousin, il est pas à Poudlard, si il est pas avec toi ? T’es toute seule, ici ? » Pas de sœurs, ou de frère, ou même d’amis ? La curiosité est un vilain défaut, d’accord, mais il faut quand même que je sache où j’ai mis les pieds !
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The Great Departure Avec Sara Horiuchi J'avoue que je ne pensais pas devoir parler de toutes les langues que je connaissais en guise de premier sujet de conversation. Mais après tout, pourquoi pas ? Il fallait juste que je chasse de mon esprit pourquoi j'avais commencé à apprendre toutes ces langues. Pour m'occuper, le temps de l'hôpital. « Comment ça peut être la langue maternelle de quelqu’un ? » J'ai un petit sourire triste en pensant à Judas. Je sais que si il avait été là, il n'aurait pas mal prit la question de Sara, mais ça n'en reste néanmoins pas un sujet compliqué. « Mon cousin est muet depuis sa naissance… Alors il a apprit la langue des signes avant de vraiment apprendre l'anglais ou l'italien. » « Mais du coup, t’as une sorte de super-intelligence ou un truc comme ça, pour avoir appris tout ça ? » Sa question me coupe le souffle. Elle venait de me demander ce que j'essayais désespérément d'oublier. Enfin, du moins, j'essayais de ne pas y penser. Avant de répondre, je cherchais une explication logique, et vraie, qui ne contiendrait pas les mots "hôpital" et"maladie". « Oh, euh, j'avais beaucoup de temps libre quand j'étais petite… » Ce qui n'est pas faux, en soi. Quand on attend dans un lit d'hôpital la moitié de sa vie, on cherche vite des occupations. J'adressais un sourire sincère à Sara. « Et puis, j'aime vraiment ça, apprendre de nouvelles langues. »

« Ton cousin, il est pas à Poudlard, si il est pas avec toi ? T’es toute seule, ici ? » Un peu interloquée par cette question, je finis par rire, un peu surprise. « Pardon, ce n'est pas contre toi. Mais… Non, je suis loin d'être seule, et c'est bien ça qui me fait rire ! » Je me redressais, en comptant mentalement et sur mes doigts pendant mes explications. « Bon, voyons. Du côté de ma mère, j'ai deux cousins. Judas, celui qui est muet. Il est en 7ème année à Poufsouffle, et si tu as un problème, il sera ravi de t'aider. Il est préfet-en-chef. Sa petite sœur, Lilith, est en 5ème année à Serpentard. Du côté de mon père, j'ai deux autres cousins. Hitomi, qui est en 6ième année à Serdaigle, et son frère, Arsène, qui est à Gryffondor, aussi en 6ème année. Tout le monde se demande si ils sont jumeaux, mais absolument pas, ils ont juste 10 ou 11 mois d'écart. J'ai un grand frère et une grande sœur en 7ème année, Esteban et Zia. Eux sont vraiment jumeaux. Esteban est à Gryffondor, mais Zia est à Poufsouffle. Et enfin, j'ai un autre grand frère, Indiana, en 6ème année à Serpentard. Les jumeaux passent le voyage ensemble, Judas est avec les préfets, sûrement avec Ezra, et Lilith avec ses amies, Hitomi aussi, et Indiana est sûrement avec Arsène à se plaindre de son éternelle rivale, une fille nommée Alice Bennett, qui est dans sa Maison et dans la même année que lui. » Pour être honnête, je parle assez peu, mais ma famille est tellement grande que ça me fait forcément une longue tirade. Mais je les aime tellement que je suis vraiment heureuse de parler d'eux. « Et puis, j'avoue que je suis bien toute seule. Ils sont parfois tellement surprotecteurs… »

Une nouvelle fois, je ne disais pas pourquoi ils étaient surprotecteurs. Mais bon, passons. je fus bien obligée de parler du sujet qui fâcher à midi. Avec Sara, on commençait à bien accrocher. On avait parlé toute la matinée, et elle accepte de me raconter tout ce qu'elle avait vu au Japon, en me décrivant le plus possible les images. Je lui confiais mon désir de voyager, mais que mes parents n'étaient pas fans que je fasse un échange scolaire. Je me demande si elle avait compris que je compensait mon envie par tous ses souvenirs. Et, on ne vit pas le temps passer, alors, à midi, on sortit naturellement nos pique-nique. Et là est le problème. Je prends tellement de médicaments, quotidiennement, à différents moments de la journée. Lentement, je sortis ma trousse à pharmacie, remplie de tubes et de papiers d'informations, pour moi, mais aussi pour ceux qui devaient me soigner en cas de crise. Je l'avais toujours sur moi, malheureusement. Et vu que je sortais trois tubes pour prendre religieusement trois médicaments, Sara ne pouvait pas passer à côté de ça. « Je… En fait… » je déglutis péniblement, pour trouver le courage de donner l'explication. « … Je suis née avec une maladie cardiaque rare. Et grave. Mon cœur est affaibli, et un rien peut le faire s'arrêter. C'est pour ça que j'avais énormément de temps libre, quand j'étais petite… j'étais souvent à l'hôpital. Ça m'arrive d'y aller encore. Avec la croissance, il faut… il faut beaucoup le surveiller. » Je détournais le regard et avalait rapidement mes comprimés, avant de boire une grande gorgée d'eau. Je n'aimais pas en parler. Je n'aimais pas qu'on me voit tel que je suis : une petite chose fragile qu'il faut surveiller.
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The great departureSamedi 1er septembre 2001Muet de naissance, la vache… ça doit pas être facile tout les jours. Ni drôle. Je me sentirais presque mal d’avoir demandé mais, après tout, un peu de curiosité n’a jamais fait de mal à personne ! Et puis, si je tombe sur Enola et son cousin, maintenant je serai pas choquée qu’il me réponde pas. Il faut toujours voir le bon côté des choses. « Oh, euh, j'avais beaucoup de temps libre quand j'étais petite… » Je la regarde un peu surprise. Beaucoup de temps libre ? Fille unique, elle aussi ? Je me permets de faire l’hypothèse à voix haute, parce que je ne vais pas tomber dans le panneau de l’amoureuse des langues. Personne ne peut adorer travailler à ce point ! Et pourtant, ma question l’a fait rire. Je me demande bien pourquoi ! « Pardon, ce n'est pas contre toi. Mais… Non, je suis loin d'être seule, et c'est bien ça qui me fait rire ! » Mon hypothèse n’était pas si bête, après tout, je ne vois pas pourquoi elle en rit autant. Mais au lieu de me renfrogner je la regarde, fascinée, compter sur ses doigts alors qu’elle énumère tout les membres de sa famille. « Bon, voyons. Du côté de ma mère, j'ai deux cousins. Judas, celui qui est muet. Il est en 7ème année à Poufsouffle, et si tu as un problème, il sera ravi de t'aider. Il est préfet-en-chef. Sa petite sœur, Lilith, est en 5ème année à Serpentard. Du côté de mon père, j'ai deux autres cousins. Hitomi, qui est en 6ième année à Serdaigle, et son frère, Arsène, qui est à Gryffondor, aussi en 6ème année. Tout le monde se demande si ils sont jumeaux, mais absolument pas, ils ont juste 10 ou 11 mois d'écart. J'ai un grand frère et une grande sœur en 7ème année, Esteban et Zia. Eux sont vraiment jumeaux. Esteban est à Gryffondor, mais Zia est à Poufsouffle. Et enfin, j'ai un autre grand frère, Indiana, en 6ème année à Serpentard. Les jumeaux passent le voyage ensemble, Judas est avec les préfets, sûrement avec Ezra, et Lilith avec ses amies, Hitomi aussi, et Indiana est sûrement avec Arsène à se plaindre de son éternelle rivale, une fille nommée Alice Bennett, qui est dans sa Maison et dans la même année que lui. » Bon… ça fait beaucoup d’informations à avaler d’un coup… Je me sens même un peu triste. Je ne suis pas aussi bien entourée, moi. Le lot des enfants uniques. J’en viendrai presque à regretter de ne connaître qu’Ezra et A… Hé, mais attends deux secondes ! « Alice ? Alice Bennett ? Mais je la connais, c’est ma meilleure amie ! » J’avoue, je m’attribue ce titre peut-être un peu trop facilement. Mais il faut bien ça pour ne pas rester sur la touche ! « Tu es la dernière alors ? C’est agaçant quand les gens te traitent comme un bébé… » Je parles d’expériences. Depuis que j’ai neuf ans, mon père, Ezra et sa famille prennent toujours des pincettes pour parler de certaines choses avec moi. Non, il n’y a qu’Alice qui n’a jamais changé.

Le reste de la matinée passe super vite. J’ai des tonnes de choses à lui raconter sur le Japon, et chaque trucs que je dis soulève une nouvelle question de sa part. Je commencerai presque à croire qu’elle m’a dit la vérité, pour son amour d’apprendre de nouvelles langues ! Je lui confiais que les parents pouvaient vraiment être une plaie, en rebondissant sur son impossibilité de faire un échange scolaire. Personnellement, je ne suis pas sûre que Papa m’aurait laissé le faire, si il n’avait pas trouvé un poste là-bas. « Je ne comprends pas les adultes. En soit, la France, c’est pas si loin ! Ou même une école privée, je suis sûre qu’il y en a en Irlande ou en Bretagne… » Les adultes, ça ramène que des problèmes dans des situations qui pourraient être ultra simples, si on nous laissait les gérer. Je haussais les épaules en sortant mon pique-nique. Papa avait été clair, hors de question que je me gave de bonbons dans le train. Il me fallait de vrais aliments à manger, à savoir : du riz, un peu de poisson, de l’omelette et beaucoup trop de légumes pour le bien de ma santé mentale. Mais comme c’était lui qui avait cuisiné ce matin, je me sentais pas vraiment de tout balancer… « Oh, wow, t’es malade ? » Qui envoyait ses enfants à l’école alors qu’ils étaient encore malades, sérieusement ? « Je… En fait… » Je me penchais pour essayer de l’entendre un peu mieux. C’est fou comment Enola parle avec une toute petite voix, parfois. « … Je suis née avec une maladie cardiaque rare. Et grave. Mon cœur est affaibli, et un rien peut le faire s'arrêter. C'est pour ça que j'avais énormément de temps libre, quand j'étais petite… j'étais souvent à l'hôpital. Ça m'arrive d'y aller encore. Avec la croissance, il faut… il faut beaucoup le surveiller. » Hé bah dis donc, si je m’attendais à ça… Ma réponse ne se fit pas attendre : « Et tu vas quand même à Poudlard ? Ok, t’aimes définitivement apprendre ! » C’est bon, je la crois tout à fait maintenant. « Bon courage pour les médocs, ils ont l’air… dégueu. » Je grimace en regardant les comprimés. C’est toujours un enfer pour m’en faire prendre. « Tu veux un peu de poisson, pour faire passer ? Mon père est super doué en cuisine, mais il m’en mets toujours trois fois trop ! » A croire qu’il remplace les mots gentils et affectueux par de la nourriture…
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The Great Departure Avec Sara Horiuchi « Alice ? Alice Bennett ? Mais je la connais, c’est ma meilleure amie ! » Je la regarde, surprise. Alice Bennett, en sixième année à Serpentard connaît Sara, qui rentre du Japon ? Ouah, c'est fou comme le monde est petit… « Tu es la dernière alors ? C’est agaçant quand les gens te traitent comme un bébé… » Je hausse les épaules en souriant légèrement. Ouais, un peu. Mais je sais qu'ils me traitent comme un bébé pas que à cause de mon âge…

On avait passé toute la matinée à parler de son voyage au Japon. Et, gentiment, Sara avait accepté de répondre à toutes mes questions. J'avais les yeux qui brillaient avec ma curiosité, jusqu'à ce que l'heure du repas arrive. L'heure du repas et des médicaments. Face aux questions de Sara, je finis par lui expliquer. Heureusement, il n'y avait pas de blancs trop gênants : « Et tu vas quand même à Poudlard ? Ok, t’aimes définitivement apprendre ! » Je finis par rire, soulagée d'une réaction… Normale. Les autres personnes ne savent pas forcément comment réagir. « Disons que j'aime l'idée d'avoir une vie normale. Même si ma sœur n'attend qu'une chose, que je sorte de ma coquille et que je me comporte comme une vraie ado ! » « Bon courage pour les médocs, ils ont l’air… dégueu. » Je les avalais avec ma bouteille d'eau. J'en avais plusieurs, alors, je faisais petit à petit. Mais maintenant, j'avais l'habitude, je ne faisais même plus attention.

« Tu veux un peu de poisson, pour faire passer ? Mon père est super doué en cuisine, mais il m’en mets toujours trois fois trop ! » Je regardais son panier-repas. Elle en avait beaucoup, mais comme moi. Et bien que je sache que mon frère allait bientôt passer pour manger mes restes, je ne pouvais pas manger de son plateau repas, en plus du mien. « Pourquoi pas… Mais ma mère aussi cuisine pour dix ! Tu veux un peu de ma salade de pâtes, en échange du poisson ? » C'est ainsi qu'on partagea notre repas, tout en bavardant. Je goûtais à de l'authentique nourriture japonaise, et elle, à de l'authentique nourriture italienne. Ma mère a raison, une profonde amitié peut naître autour de la nourriture.

Dimanche 2 septembre 2001

Ma grande-tante Camélia était revenue exprès de son manoir pour me voir avant le petit déjeuner. Elle voulait me parler de la princesse Iceni, qui était arrivée cette année à Poudlard. Et comme elle ne connaissait pas grand-monde, voir personne, et qu'elle savait que j'avais passé tout le banquet à discuter avec Sara, qui est également nouvelle, elle voulait me demander si je ne pouvais pas guider les deux. Docilement, j'avais accepté avec plaisir. Quand je sortis du bureau, je vis Sara qui m'attendait dans le couloir, pour aller prendre le petit-déjeuner. « … C'est la directrice de Serpentard. Et aussi ma grande-tante. Elle voulait que je m'occupe de toi, et de la princesse Iceni. On y va ? » J'entrainais Sara dans les couloirs, et, quand on arriva dans la Grande Salle, je vis immédiatement la princesse, qui mangeait seule. J'entraînais Sara à la table des gryffondors, et fit à la jeune fille un immense sourire. « Bonjour… Je m'appelle Enola Nightshade, et voilà Sara Horiuchi. Je me propose d'être votre guide, à toutes les deux, comme je suis aussi en quatrième année. Hum… Comment je dois vous appeler ? Majesté ? »
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I wanna cry and I wanna love
But all my tears have been used up

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The Great DepartureAvec Enola Nightshade & Sara Horiuchi Dimanche 2 septembre 2001

Ce n'était que le deuxième jour, je n'avais même pas commencé les cours, que je me demandais si ma venue était une bonne idée. Beaucoup me regardaient comme une bête curieuse, et surtout, j'avais déjà été la victime d'un premier vol. Bon, j'avais récupéré ma montre assez rapidement, mais bon… Et puis, ce château est tellement grand ! Celui d'Irlande aussi, mais, j'ai grandi dedans. Je sais me repérer. Alors que là… J'avais suivi les élèves jusqu'à la Salle Commune pour prendre mon petit-déjeuner, histoire de ne pas me perdre. Et de ne pas mourir de faim. Je mangeais mes oeufs, le regard dans le vide, en me demandant comment je ferais pour aller en cours demain, quand j'entendis qu'on se rapprocha de moi. Je posais ma tartine, et tourna la tête.

Deux jeunes filles. Une brune menue, et une autre, asiatique, qui avait fait la Répartition avec moi. « Bonjour… Je m'appelle Enola Nightshade, et voilà Sara Horiuchi. Je me propose d'être votre guide, à toutes les deux, comme je suis aussi en quatrième année. Hum… Comment je dois vous appeler ? Majesté ? » Je souris légèrement, rassurée. Elles avaient l'air trop gentilles ! « Franchement, vous pouvez m'appeler Accalia, et me tutoyer. Je suis là pour goûter à la vie d'une collégienne normale, après tout. » Je sais, je sais. Ça fait un peu pédant de dire ça, mais en même temps, je ne suis pas habituée, d'accord ? « Vous voulez petit déjeuner avec moi ? » J'étais heureuse de voir les filles s'installer à côté de moi. Je me tournais vers Sara. « Toi aussi, tu es arrivée cette année. Tu étais où, avant, si ce n'est pas trop indiscret ? »
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I'm not a woman, I'm a God

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The great departureDimanche 2 septembre 2001Qui aurait crût que je me fasse une amie avec un plat de Papa ? Et à l’aide de mon habilité sociale naturel, évidemment. Après avoir discutés, mangés, passés nos uniforme qui n’étaient pas si mal finalement mais un peu triste, j’ai dû attendre avec les premières années pour me faire repartir. C’était presque humiliant, mais au moins je n’étais pas toute seule. Il faut croire qu’il y a toujours deux ou trois transferts en cours de scolarité ! Contre toute attente, je me suis retrouvé à Serdaigle. C’est-à-dire, la Maison qui me correspondait selon Papa, même si tout le monde penchait pour me caser dans les trois autres. Au moins, j’étais avec Enola ! On était même dans le même dortoir, et voisine de lit. Comme quoi, même à Poudlard je pourrai organiser des soirées pyjamas !

Mais après ma première nuit, Enola a été réquisitionné par une prof. J’ai pût noter qu’elle était très bien habillé – que du sur-mesure, j’en étais quasiment certaine ! J’en étais à me demander si ça avait à voir avec le traitement de ma nouvelle amie, ou ses médicaments, en attendant dans le couloir, quand Enola fit enfin son apparition en émergeant du bureau de la prof. « Alors ? Elle voulait quoi ? C’est qui, d’ailleurs ? » Lui demandai-je en essayant de faire semblant de ne pas entendre les grognements de mon estomac. « … C'est la directrice de Serpentard. Et aussi ma grande-tante. » Je devais faire une tête de trois pieds de longs. Sa grande-tante ? Mais elle avait l’air d’être super jeune ! « Elle voulait que je m'occupe de toi, et de la princesse Iceni. On y va ? » En hochant la tête, je suivis la jeune fille, mon bras glissé sous le sien. Une fois dans la Grande Salle, Enola bifurqua vers la table des Gryffondor. Il me fallut un petit moment pour me rappeler que c’était la Maison de la princesse, du coup. « Bonjour… Je m'appelle Enola Nightshade, et voilà Sara Horiuchi. Je me propose d'être votre guide, à toutes les deux, comme je suis aussi en quatrième année. Hum… Comment je dois vous appeler ? Majesté ? » Le ton super sérieux d’Enola me fit rire. C’était trop mignon ! Est-ce qu’elle parlait comme ça normalement, ou c’est juste parce qu’elle suivait les directives de sa grande-tante ? « Franchement, vous pouvez m'appeler Accalia, et me tutoyer. Je suis là pour goûter à la vie d'une collégienne normale, après tout. » Au moins, princesse ou pas, elle est assez cool sur ce point ! Je m’assied à côté d’elle et d’Enola pour prendre un petit-déjeuner qui ferait pâlir mon père : du chocolat chaud, de la brioche, deux scones. Pauvre Papa, il déteste tout ce qui est sucré ! « Toi aussi, tu es arrivée cette année. Tu étais où, avant, si ce n'est pas trop indiscret ? » « J’ai commencé mes études à Mahoutokoro, donc je suis comme toi. Je connais presque personne, ici ! » Je mordis dans ma brioche, avant d’enchaîner : « J’ai vu une photo de toi, dans un journal. T’avais une robe tellement belle ! Ça a dût prendre des heures pour prendre les mesures et faire les retouches, non ? »
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I was lost... Not anymore

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The Great DepartureAvec Enola Nightshade & Sara Horiuchi « J’ai commencé mes études à Mahoutokoro, donc je suis comme toi. Je connais presque personne, ici ! » lui souris gentiment. « A part Enola. » « J’ai vu une photo de toi, dans un journal. T’avais une robe tellement belle ! Ça a dût prendre des heures pour prendre les mesures et faire les retouches, non ? » Je ris franchement, amusée. Puis je commençais à lui parler longuement d'Anya, qui était la styliste personnelle de ma sœur, mais qui gardait un oeil bienveillant sur ma garde-robe. Que estimer mes mesures prenait du temps uniquement quand j'avais une poussée de croissance, mais que oui, il y avait toujours de nombreuses retouches à faire, parce qu'il y avait une notion de perfection perpétuelle, dans ma famille. Et c'est comme ça, en parlant de mes robes avec les filles, que je me fis mes premières vraies amies.
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