Nous sommes le lundi 3 septembre 2001. Victoria, ou Vicky comme elle aime être surnommée, est la fille cadette de Louis et Adèle Prewett. Après un été mouvementé où ses parents lui ont appris qu'ils souhaitaient divorcer, Vicky a fait la connaissance de Ethan Chastang, l'homme qui rend désormais heureux son père. Elle entre en 5ème année à Poudlard, dans la maison des Poufsouffle. Enjouée, énergique et optimiste, Vicky croque la vie à pleines dents et a hâte de voir ce que cette nouvelle année scolaire va lui apporter.
J’étais tellement contente d’être à Poudlard et d’avoir revu tous mes camarades. Nous étions au château depuis samedi soir, ayant eu le temps de profiter du banquet de bienvenue et de la journée du lendemain pour nous installer et profiter d’un dernier jour avant la reprise des cours. J’avais passé quasiment tout mon temps avec mes deux meilleures amies, parlant de nos vacances respectives et en particulier de la séparation de mes parents. Ca me faisait moins mal d’en parler à présent que j’étais éloignée d’eux. Enfin, pas totalement. Papa était professeur d’Etude des Moldus à Poudlard alors j’avais pas mal l’occasion de le croiser. Billy était venu me voir hier soir en disant qu’il avait du mal à l’idée de le voir aussi souvent. Billy ne parlait plus à notre père depuis qu’il avait annoncé qu’il était amoureux d’un autre homme, en l’occurrence le professeur de Défense contre les Forces du Mal, le professeur Chastang. Moi, j’essayais de faire au mieux pour apaiser les tensions.
Bref, aujourd’hui, c’était la rentrée des classes et j’étais impatiente ! J’étais installée à la table des Poufsouffles, prenant mon petit-déjeuner quand les hiboux étaient entrés dans la Grande Salle, amenant comme chaque matin le traditionnel courrier. Nous avions à présent nos emplois du temps en main et je me plaignis déjà pour l’occasion. « J’ai un emploi du temps horriiiible ! » Je tirais la manche de Shanna pour qu’elle regarde avec moi. « Regarde ce vendredi. C’est trop pourri ! » Alors que nous comparions chacune nos emplois du temps, mon regard fut attiré vers un Serdaigle.
Ulrick de Bavalley. Il venait d’entrer dans la Grande Salle, son emploi du temps à la main, et s’installa à la table de sa maison. Je l’observais en coin. Papa m’avait dit que c’était un cousin et que je devais faire de mon mieux pour qu’il se sente à l’aise ici. Il était Français et donc pas très à l’aise encore avec la langue ici, ni avec les coutumes britanniques. « Je reviens ! » soufflais-je aux filles, hésitant guère longtemps à me lever. Je traversais la Grande Salle, mes cheveux bouclés flottant au-dessus de mes épaules alors que j’arrivais à grandes enjambées vers lui. « Bonjour ! » dis-je en français, en tapotant son épaule, un grand sourire aux lèvres. « Je suis Victoria Prewett, la fille de Louis Prewett. On est cousins je crois. » Je lui lançais un clin d’œil avant de m’asseoir sur le banc à côté de lui. « Tu peux m’appeler Vicky d’ailleurs. »
Je vis qu’il avait posé son emploi du temps à côté de lui et l’attrapais pour l’observer de plus près. « Oh ! On a Potions ensemble en première heure ! » m’exclamais-je, enthousiaste.
Bref, aujourd’hui, c’était la rentrée des classes et j’étais impatiente ! J’étais installée à la table des Poufsouffles, prenant mon petit-déjeuner quand les hiboux étaient entrés dans la Grande Salle, amenant comme chaque matin le traditionnel courrier. Nous avions à présent nos emplois du temps en main et je me plaignis déjà pour l’occasion. « J’ai un emploi du temps horriiiible ! » Je tirais la manche de Shanna pour qu’elle regarde avec moi. « Regarde ce vendredi. C’est trop pourri ! » Alors que nous comparions chacune nos emplois du temps, mon regard fut attiré vers un Serdaigle.
Emploi du temps de Vicky :
Ulrick de Bavalley. Il venait d’entrer dans la Grande Salle, son emploi du temps à la main, et s’installa à la table de sa maison. Je l’observais en coin. Papa m’avait dit que c’était un cousin et que je devais faire de mon mieux pour qu’il se sente à l’aise ici. Il était Français et donc pas très à l’aise encore avec la langue ici, ni avec les coutumes britanniques. « Je reviens ! » soufflais-je aux filles, hésitant guère longtemps à me lever. Je traversais la Grande Salle, mes cheveux bouclés flottant au-dessus de mes épaules alors que j’arrivais à grandes enjambées vers lui. « Bonjour ! » dis-je en français, en tapotant son épaule, un grand sourire aux lèvres. « Je suis Victoria Prewett, la fille de Louis Prewett. On est cousins je crois. » Je lui lançais un clin d’œil avant de m’asseoir sur le banc à côté de lui. « Tu peux m’appeler Vicky d’ailleurs. »
Je vis qu’il avait posé son emploi du temps à côté de lui et l’attrapais pour l’observer de plus près. « Oh ! On a Potions ensemble en première heure ! » m’exclamais-je, enthousiaste.
Vicky Prewett