Margrethe C. Thorvaldsen

ϟ Nom Prénom : Thorvaldsen, Margrethe, Cathinka
ϟ Surnom : Maggie
ϟ Avatar :  Josephine Langford
ϟ Âge : 16 ans
ϟ Date & lieu de naissance :  26 mai 1985, Copenhague, Dannemark
ϟ Origines : Anglaise & Danoise
ϟ Statut de Sang : Sang-Pure (1er génération)
ϟ Espèce : Sorcière
ϟ Genre : Femme
ϟ Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle
ϟ Don : Psychomagie
ϟ Maison : Poufsouffle
ϟ Année d'étude : 6ème année
ϟ Options : Arithmancie & Langues Anciennes & Etude des Moldus
ϟ Langues parlées : Anglais (C2) & Danois (C2) & Allemand (B2)



Caractère

Je suis ce qu'on appelle une oreille attentive : les gens se confient facilement à moi, sans que je ne sache vraiment pourquoi. Ni eux non plus, d'ailleurs. Mais cela ne me dérange pas, au contraire : j'ai toujours voulu travailler dans le domaine de la Psychomagie. C'est une manière comme une autre de m'entraîner, je suppose. J'aime apprendre, en apprendre plus sur les autres et les comportements humains, sans pour autant tomber dans le voyeurisme. J'essaie parfois de ne pas voir, de ne pas comprendre... mais c'est assez dur de jouer l'aveugle lorsque la vérité vous saute aux yeux !

Le fait que l'on m'accorde aussi vite une grande confiance doit sûrement avoir un lien avec le calme que j'affiche naturellement. Et, quand je suis aux côtés de ma meilleure amie hyperactive, ce trait de caractère semble être renforcé par sa simple présence ! Je partages les idéaux et les valeurs de mes parents, même si je ne m'étends pas dessus : simplicité, honnêteté, gentillesse, justice, féminisme et... amour inconditionnelle pour la cannelle - je vous assure, à ce niveau-là, cela peut être considéré comme un trait de caractère à part entière. Je suis très loyale, aussi, tout comme mon père. C'est sans doute ce qui m'a valu d'être répartie à Poufsouffle presque instantanément lors de ma première année.

Physique

Au niveau du physique, je n'ai pas à me plaindre : entre ma mère très petite, et mon père très ... eh bien, grand, je suis le parfait équilibre entre les deux. Je mesure presque un mètre soixante-dix, ce qui me va parfaitement. Je ressemble à mes parents d'une manière assez saisissante : j'ai les cheveux blonds de ma mère, bien qu'un peu plus foncé. Mes yeux bleus, je les tiens de mon père. Avec ces deux caractéristiques, je réponds plus aux clichés des représentations nordiques qu'anglaises - ce qui est d'aileurs déjà le cas par mon prénom et mon nom de famille. C'en est au point où certaines personnes semblent même étonner que je sache parler anglais, c'est dire !

Avec le statut de mes parents - Papa est un Sang-Pur, après tout - et le métier de Maman, j'ai été habitué à m'habiller avec des vêtements de très bonne qualité. Le prêt-à-porter n'a pas vraiment sa place dans ma garde-robe, mais cela ne m'a jamais gênée. Ce n'est pas parce que mes pantalons et mes jupes étaient faits sur mesure que cela m'empêchais de me rouler dans l'herbe avec Spencer, à l'école !



Histoire


Chapitre I : Une enfance choyée et protégée

Toute mon histoire commence par la genèse de l'amour de mes parents, qui se fréquentaient amicalement depuis leurs plus tendre enfance : mon père avait dix ans, ma mère cinq. Après des années d'amitié qui se sont transformées en amour, ils ont enfin eu le courage de sortir ensemble. J'insiste sur le côté courageux : ma mère est une tête d'hippogriphe qui ne veut jamais reconnaître ses torts, et mon père se morfondait sur leur différence d'âge qui lui semblait un obstacle infranchissable. Je peux dire que le choix de mon père n'était pas très populaire auprès de ses parents, au début : Elizabeth Brooks était une Sang-Mêlée. Mais mon père est inflexible, alors ils ont finis par prendre leur parti. Tout était pour le mieux, au final : mes grands-parents adorent ma mère !

Après un mariage en grande pompe, le plan de mon père était des plus simple : fonder rapidement une famille, et avoir beaucoup d'enfants. C'est comme ça que j'ai pointé le bout de mon nez, deux ans après le mariage. Sauf que je suis restée enfant unique. La vérité, c'est que Papa avait du mal avec moi. Il ne me comprenait pas, il ne savait pas quoi faire et avait toujours peur de me blesser. Alors, il a dit à ma mère qu'un seul bébé, c'était suffisant. Comment je sais tout cela ? Parce qu'il me l'a dit, pardi ! C'est de mon père que je tiens mon honnêteté. Il m'a dit très tôt qu'il n'était pas comme les autres pères, qu'il était autiste et qu'il ne fallait pas lui en vouloir - puis Maman s'est mise en colère, comme à chaque fois qu'il s'excuse. Apparemment, c'est un sujet sensible. Heureusement, il ne le fait plus trop maintenant - à part quand il a bût un coup de trop avec mon oncle.

C'est cette différence qui a déclenché de la façon la plus simple ma passion pour la Psychomagie. Mon père a prit l'habitude de remplir des carnets sur mes réactions de bébé et d'enfants (et aussi un carnet sur celle de Maman, évidemment). Dès que j'ai sût écrire, j'ai voulu faire comme lui. J'avais un carnet pour mon père, un carnet pour ma mère, un pour mon oncle et ses drôles de blagues, un pour mon cousin Joachim, qui est comme Papa... Les deux seules à y échapper sont mes tantes. Leurs réactions à elles me semblent tout à fait naturelles et proportionnées.

Un autre fait important sur mon enfance : Papa... est très protecteur. Il l'a toujours été, mais apparemment c'est pire avec moi. Il ne voulait pas que j'aille à l'école, quand j'étais enfant. Il avait peur que je me fasse embêter parce que je n'étais pas anglaise, parce que j'étais une Sang-Pure de première génération, à cause du métier de Maman, à cause de lui, ou que les Mangemorts m'attrappent - ce qui est, de toute la liste, la raison la plus rationnelle. Maman a dû batailler ferme avec lui pour que j'entre finalement à l'école Zain : ça a pris littéralement des années.

Chapitre II : Quand Margrethe devient Maggie

Je vais t'appeler Maggie ! : c'est les premiers mots dont je me souviens, pour ma première rentrée. J'avais neuf ans, et je venais de rentrer en cinquième année après que mon père se soit fait un sang d'encre pendant les deux mois de vacances estivales. La maîtresse m'avait désigné une place libre, à côté d'une fillette blonde qui décréta presque immédiatement que mon prénom -  Margrethe - était trop long et trop complexe à prononcer. Je me suis faite vite à ce surnom, qui me rapprochait de ma mère : même si elle s'appelle Elizabeth, presque tout le monde l'appelle Lizzie. C'est pareille pour moi, désormais : tout le monde m'appelle Maggie, même mes professeurs. Tout le monde, sauf Papa, mais étant danois, au moins je suis certaine que lui n'écorchera pas mon prénom !

J'ai donc passé deux ans à l'école primaire, accompagné par Spencer qui était vite devenue ma meilleure amie. Au point où je fus invité assez souvent à dormir chez elle. Avec l'honnêteté héritée de mes parents, j'ai posé une question fâcheuse dès mon premier séjour : quel était le problème du petit frère de Spencer ? Heureusement, ses parents ne l'ont pas trop mal pris. J'ai commencé mon étude de Lemony ce jour-là. Puis celle de Spencer.... qui ne le prendrait pas mal, je suppose, si elle tombait sur ses carnets que je remplis toujours. Après ce temps d'adaptation à l'école, je me suis retrouvé à Poudlard. Autant dire tout de suite que ce ne fut pas très facile d'habitué un père très protecteur à l'idée que je ne rentrerai que pour les vacances ! Il n'y avait même pas la présence de mon cousin pour le rassurer, Joachim était allé à Durmstrang... Enfin, mon père a dû prendre son parti. Je suis sûre que maintenant, il est content d'être parfois seul avec maman ! J'ai été répartie à Poufsouffle après un certain temps, me retrouvant dans la même Maison que Spencer. Notre première année était dans l'ensemble très bien - si on oublie les évènements de la fin d'année. Notre seconde année, par contre... Spencer a dû quitter Poudlard dès le premier trimestre avec son frère. Et moi, j'aurai bien voulu partir aussi. Sauf que venant d'une famille de Sang-Purs, mes parents avaient peur (à raison) de représailles. Bien sûr, le statut de sangs les protégeait, mais ils auraient pût être forcé à rejoindre les rangs des Mangemorts sous l'Imperium, n'est-ce pas ? Ils ont donc préférés faire profil bas, et moi de même. Heureusement pour nous, une Sang-Pure de Poufsouffle en deuxième année n'attire pas trop les regards.  Après la Bataille de Poudlard, j'ai pû retrouvé mes parents. Je ne suis retourné au collége de magie qu'en troisème année, après avoir passé quatre bon mois au Danemark pour être loin de cette ambiance trop pesante. Aujourd'hui, je suis en sixième année ! J'ai tout un plan en tête pour devenir Psychomage, et je sais même déjà quelle confrérie je souhaiterais intégrer à l'Université. C'est dans deux ans, je sais, mais je me prépare soigneusement à faire cette carrière depuis toujours : je ne suis pas du genre à laisser quelque chose au hasard.



La boite à questions

ϟ Une anecdote à nous partager ? Depuis des années que je les entasse, j'ai une pile assez conséquentes de carnets d'observations. Je m'y retrouve avec un système tout simple : j'ai assigné une couleur à chaque personne ! (Jaune citron pour Lemony, rouge pour ma mère, bleu pour mon père, vert électrique pour Spencer, violet pour ses parents, noir pour Joachim et gris pour mon oncle)
ϟ Quelles sont tes matières préférées à l'école ? J'aime beaucoup l'allemand ! Et aussi les Potions qui en plus me seront utiles pour l'Université !
ϟ Quel est ton sortilège préféré ? Je trouve le sortilège Remove fascinare... fascinant. Il permet de désenvoûter les sorciers victime de Magie Noire. D'une manière générale, j'aime beaucoup la Magie Blanche.
ϟ Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? Oui, il prend la forme d'un petit écureuil. L'exécuter en cinquième année était plutôt simple, même si je ne l'ai jamais fait devant un Détraqueur.
ϟ Quel est ton Epouvantard ? Le noir. Je n'ai jamais été à l'aise la nuit, j'ai toujours une petite veilleuse magique dans mon dortoir. C'est même pour cela que j'ai abandonné l'Astronomie dès que j'ai pût.
ϟ Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? Bois d'aubépine et poil de Fléreur. Elle est ni vraiment flexible, ni vraiment rigide.
ϟ Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ? J'y sens la bougie à la vanille, le chocolat chaud et la cannelle.


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Writer of the Mind ☼