Karoline Barjow
Dernière édition par Karoline Barjow le Lun 4 Sep - 15:47, édité 1 fois
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Contexte
Des cicatrices de gloire sur notre peau
@ VictoireDans le passé - Poudlard fin juin 1988 - Karoline est une sorcière de 17 ans. Elle est la fille de Mr Barjow, propriétaire de la boutique Barjow et Beurk. Karoline est en 7ème année à Poudlard, dans la maison Poufsouffle. Elle vient de passer ses Aspic et elle profite de la dernière journée sans cours à Poudlard avec ses copines. En septembre elle rentre à l'UMS pour suivre des études dans le département de magie avancée, cursus protection magique. Elle veut devenir Oubliator.
Des cicatrices de gloire sur notre peau
Je suis assise dehors à profiter du beau temps et de la belle vue. Et je ne parle pas du lac mais de Calvin Scott. Non mais regardez-le, ce sourire, cette prestance, il fait craquer un bon nombre de filles ici à Poudlard, moi la première. Je suis surprise qu'il n'est jamais rien tenté avec moi, mais un petit Botruc me dit que c'est la faute de mon frère. Même s'il n'est plus à Poudlard depuis quelques années, Scott n'a jamais rien entrepris avec moi, j'ai eu pourtant l'impression qu'il en aurait bien eu envie, vu tous les regards en coin qu'il me lance, mais rien, nada. C'est vraiment décevant, je pensais qu'il avait plus de cran vu toutes les rumeurs sur ses frères et sœurs.
Ah et bien quand on parle du loup, le voici qui me regarde. Hors de question que je baisse les yeux, c'est ce que tout le monde fait en présence d'un Scott, il s'écrase, il baisse le regard. Mais moi il peut toujours courir. Je pose sagement mon livre sur mes genoux et maintien son regard. Que le duel commence ! Jeu de séduction ? d'intimidation ? Bien qu'assise, je me tiens droite et lui lance même un petit sourire. Le sien est discret, mais il est là. Bon sang qu'il est trop beau, il faut que je tente quelque chose, c'est la fin de l'année, notre dernier jour à Poudlard, on a passé nos ASPIC, on ne se reverra peut-être plus l'année prochaine à l'UMS. Je me lève alors tout en continuant à le regarder et lui fait signe de la tête de me suivre.
"K ? K qu'est-ce que tu fous ?" me demandent alors mes copines
- Je vais à la volière, j'ai besoin d'écrire un truc à mon frère, pour mon retour à la maison, ne m'attendez pas je vous rejoins pour manger."
Je n'attends aucune réponse de leur part quand je vois que Scott mord à mon hameçon, il se lève aussi. Je me dirige d'un pas plutôt soutenu en direction donc de la tour. A cette heure ci il n'y a jamais personne et encore plus à la fin de l'année, demain on sera dans nos familles, donc personne n'écrit un dernier courrier comme je l'ai prétendu à mes copines. Je monte les marches et mon cœur frappe fort dans ma poitrine. J'ignore ce que je vais vraiment faire, si il me suit vraiment. Qu'est-ce que je vais lui dire ? Je n'ai pas vraiment le temps de réfléchir plus longtemps quand j'entends des pas sur les marches en pierre. Mon cœur s'accélère encore, je suis complètement dingue, comment va-t-il interprété ça ? Je le vois alors, il est imposant, même à 17 ans, il prend tout l'espace, vide l'air de la pièce. Non mais il est trop beau je craque. On se regarde un instant.
"- Salut Scott."
Il s'approche d'un pas lent et sûr vers moi.
"- Je ne savais pas si tu allais venir."
Encore un peu plus, bon sang c'est tellement grisant, tellement excitant, qu'est-ce que je fabrique ? Et avec un Scott en plus, cette famille est douteuse, flippante, mon frère m'a avertie à de nombreuses reprises, il m'a fait des sermons, des leçons et pourtant je suis toujours comme un papillon à me brûler les ailes. Bon ! inutile de tourner autour du pot.
"- Je sais que mon frère t'a parlé, mais tu vois, il n'est pas là"
Je lève mes deux mains en l'air faisant l’innocente et tourne la tête pour regarder le haut de la tour. Et il n'y a personne d'autre.
"- Je suis presque un peu déçue, je pensais que les Scott avaient plus d'audace et de courage, mais rien d'étonnant pour un Serpentard finalement..."
Karoline tu vas trop loin. Je ne peux pas m'empêcher de le provoquer, c'est bien trop amusant. Je ne vais pas aller loin dans la vie avec de tels comportements suicidaires. Mais regardez moi ses yeux marrons, ses cheveux si soyeux, ce regard si pénétrant, il est aussi séduisant que terrifiant. Cette fois c'est moi qui fait un pas de plus. Ma poitrine se soulève de plus en plus et agrandi au fur et à mesure le décolleté que je porte, un joli débardeur en dentelle blanc. Bientôt la pointe de nos pieds se touchent et on ne se quitte pas du regard. Foutue pour foutue, je prends les devant et agrippe l'arrière de sa tête pour l'embrasser. Pas le genre de baiser innocent, le baiser torride, foudroyant.
On s'embrasse comme si on venait tous les deux de sortir d'Azkaban. Ce baiser suinte de toute notre retenue et frustration depuis 7 ans. Et l'évidence nous frappe, tous les deux on s'est désiré bien trop longtemps sans jamais sauter le pas. Et on ne se l'explique pas. J'ai l'impression d'avoir la fièvre et la température sous les toits de la volière est suffoquant et n'aide pas, je le sens me soulever sous les fesses pour m'assoir sur une caisse. Si d'ordinaire j'aurai hurlé d'être sur de la merde de hibou, là je n'y pense pas une seconde.
Notre baiser dure et je sens ses mains tirer sur le bas de mon débardeur pour le défaire de mon short en jean, ses doigts glissent sur ma peau, relevant un peu plus le haut et se glissent dans mon dos. J'en fais autant avec sa chemise que je sors de son pantalon. Ça va aller loin et je ne voyais pas faire ça ici dans ce lieu aussi dégoutant. Je panique un peu quand je le sens défaire le bouton de mon short.
"- K ? Karo t'es là ? On est venu te dire que les professeurs nous ont autorisé à aller au Pré-au-lard exceptionnellement aujourd'hui, du coup avec Lise on s'est dit qu'on pouvait y manger. K ?"
Je crois que je n'ai jamais été aussi vite refroidi de toute ma vie. Calvin et moi on se détache et se reboutonne à la vitesse de l'éclair, je suis méga gênée mais aussi méga excitée par cette expérience. Je maudits mes copines même si je ne sais pas si j'aurai pu aller aussi loin avec lui. Mon cœur bat encore la chamade et je suis probablement rouge tomate, je sens alors la main de Calvin effleurer ma joue comme si il s'en amusait. Crétin ! Pourtant je ne perds pas mon sourire, on se regarde de manière complice en se rhabillant. Je me dépêche avant que mes copines débarquent, je passe une main dans mes cheveux pour les recoiffer et tapote mes fesses pour d'éventuelle traces de crottes, eurk. Avant de sortir je me retourne vers lui.
"- C'était pas trop mal Scott, mais peut-être que je m'attendais à mieux ! Passe de bonnes vacances !"
OH MON DIEU j'y crois pas, c'était divin, j'en reviens pas. Il embrasse comme un Dieu, quand je vais dire ça aux copines. Je dévale les escaliers avant qu'elles ne finissent par les gravir, laissant Calvin seul dans la tour.
Ah et bien quand on parle du loup, le voici qui me regarde. Hors de question que je baisse les yeux, c'est ce que tout le monde fait en présence d'un Scott, il s'écrase, il baisse le regard. Mais moi il peut toujours courir. Je pose sagement mon livre sur mes genoux et maintien son regard. Que le duel commence ! Jeu de séduction ? d'intimidation ? Bien qu'assise, je me tiens droite et lui lance même un petit sourire. Le sien est discret, mais il est là. Bon sang qu'il est trop beau, il faut que je tente quelque chose, c'est la fin de l'année, notre dernier jour à Poudlard, on a passé nos ASPIC, on ne se reverra peut-être plus l'année prochaine à l'UMS. Je me lève alors tout en continuant à le regarder et lui fait signe de la tête de me suivre.
"K ? K qu'est-ce que tu fous ?" me demandent alors mes copines
- Je vais à la volière, j'ai besoin d'écrire un truc à mon frère, pour mon retour à la maison, ne m'attendez pas je vous rejoins pour manger."
Je n'attends aucune réponse de leur part quand je vois que Scott mord à mon hameçon, il se lève aussi. Je me dirige d'un pas plutôt soutenu en direction donc de la tour. A cette heure ci il n'y a jamais personne et encore plus à la fin de l'année, demain on sera dans nos familles, donc personne n'écrit un dernier courrier comme je l'ai prétendu à mes copines. Je monte les marches et mon cœur frappe fort dans ma poitrine. J'ignore ce que je vais vraiment faire, si il me suit vraiment. Qu'est-ce que je vais lui dire ? Je n'ai pas vraiment le temps de réfléchir plus longtemps quand j'entends des pas sur les marches en pierre. Mon cœur s'accélère encore, je suis complètement dingue, comment va-t-il interprété ça ? Je le vois alors, il est imposant, même à 17 ans, il prend tout l'espace, vide l'air de la pièce. Non mais il est trop beau je craque. On se regarde un instant.
"- Salut Scott."
Il s'approche d'un pas lent et sûr vers moi.
"- Je ne savais pas si tu allais venir."
Encore un peu plus, bon sang c'est tellement grisant, tellement excitant, qu'est-ce que je fabrique ? Et avec un Scott en plus, cette famille est douteuse, flippante, mon frère m'a avertie à de nombreuses reprises, il m'a fait des sermons, des leçons et pourtant je suis toujours comme un papillon à me brûler les ailes. Bon ! inutile de tourner autour du pot.
"- Je sais que mon frère t'a parlé, mais tu vois, il n'est pas là"
Je lève mes deux mains en l'air faisant l’innocente et tourne la tête pour regarder le haut de la tour. Et il n'y a personne d'autre.
"- Je suis presque un peu déçue, je pensais que les Scott avaient plus d'audace et de courage, mais rien d'étonnant pour un Serpentard finalement..."
Karoline tu vas trop loin. Je ne peux pas m'empêcher de le provoquer, c'est bien trop amusant. Je ne vais pas aller loin dans la vie avec de tels comportements suicidaires. Mais regardez moi ses yeux marrons, ses cheveux si soyeux, ce regard si pénétrant, il est aussi séduisant que terrifiant. Cette fois c'est moi qui fait un pas de plus. Ma poitrine se soulève de plus en plus et agrandi au fur et à mesure le décolleté que je porte, un joli débardeur en dentelle blanc. Bientôt la pointe de nos pieds se touchent et on ne se quitte pas du regard. Foutue pour foutue, je prends les devant et agrippe l'arrière de sa tête pour l'embrasser. Pas le genre de baiser innocent, le baiser torride, foudroyant.
On s'embrasse comme si on venait tous les deux de sortir d'Azkaban. Ce baiser suinte de toute notre retenue et frustration depuis 7 ans. Et l'évidence nous frappe, tous les deux on s'est désiré bien trop longtemps sans jamais sauter le pas. Et on ne se l'explique pas. J'ai l'impression d'avoir la fièvre et la température sous les toits de la volière est suffoquant et n'aide pas, je le sens me soulever sous les fesses pour m'assoir sur une caisse. Si d'ordinaire j'aurai hurlé d'être sur de la merde de hibou, là je n'y pense pas une seconde.
Notre baiser dure et je sens ses mains tirer sur le bas de mon débardeur pour le défaire de mon short en jean, ses doigts glissent sur ma peau, relevant un peu plus le haut et se glissent dans mon dos. J'en fais autant avec sa chemise que je sors de son pantalon. Ça va aller loin et je ne voyais pas faire ça ici dans ce lieu aussi dégoutant. Je panique un peu quand je le sens défaire le bouton de mon short.
"- K ? Karo t'es là ? On est venu te dire que les professeurs nous ont autorisé à aller au Pré-au-lard exceptionnellement aujourd'hui, du coup avec Lise on s'est dit qu'on pouvait y manger. K ?"
Je crois que je n'ai jamais été aussi vite refroidi de toute ma vie. Calvin et moi on se détache et se reboutonne à la vitesse de l'éclair, je suis méga gênée mais aussi méga excitée par cette expérience. Je maudits mes copines même si je ne sais pas si j'aurai pu aller aussi loin avec lui. Mon cœur bat encore la chamade et je suis probablement rouge tomate, je sens alors la main de Calvin effleurer ma joue comme si il s'en amusait. Crétin ! Pourtant je ne perds pas mon sourire, on se regarde de manière complice en se rhabillant. Je me dépêche avant que mes copines débarquent, je passe une main dans mes cheveux pour les recoiffer et tapote mes fesses pour d'éventuelle traces de crottes, eurk. Avant de sortir je me retourne vers lui.
"- C'était pas trop mal Scott, mais peut-être que je m'attendais à mieux ! Passe de bonnes vacances !"
OH MON DIEU j'y crois pas, c'était divin, j'en reviens pas. Il embrasse comme un Dieu, quand je vais dire ça aux copines. Je dévale les escaliers avant qu'elles ne finissent par les gravir, laissant Calvin seul dans la tour.
Dernière édition par Karoline Barjow le Lun 4 Sep - 15:47, édité 1 fois
"Il avait suffi de peu : de l'attention, une main tendue
et un peu d'amour. Parfois, dans la vie,
on a besoin de trois fois rien pour être sauvé"
et un peu d'amour. Parfois, dans la vie,
on a besoin de trois fois rien pour être sauvé"