Darach C. Fowl

Histoire

Chapitre I : Méga grande famille bien Sang-Pur comme il faut

Les Fowl sont une très vieille famille irlandaise. On doit être là depuis… pfiouuu, des siècles, je dirais ? On a été tous Premier Ministre de parent à enfant. A l'image des Iceni, ma famille a répugné à ce que le sexe soit déterminant dans l'héritage. Finalement, quand on y repense, on était un pays vachement avant-gardiste. Je veux dire, la France médiévale a créé la loi salique pour que les femmes n'héritent pas ! Bon, c'était pour empêcher que l'Angleterre prenne des terres, mais vous voyez le délire.

Du coup, mon grand-père paternel, Cian, était Premier Ministre. C'est d'ailleurs à cause de lui que j'ai ce second prénom. Moins pourri que de s'appeler « chêne », quand même. C'est ce que veut dire Darach. Chêne. Je suis très dubitatif sur la capacité de mes parents à donner des prénoms à leurs enfants. Bref. Le frère de papy Cian, lui, n'était pas du tout dans le délire Iceni, au point qu'il a fomenté un complot pour tuer la reine de l'époque, la mère de notre roi actuel pendant la grande famine irlandaise. Spoil, ça a loupé, il a été viré d'Irlande, il a perdu en popularité, au contraire de la famille qui n'a jamais été aussi populaire, sauf si on ne compte pas aujourd'hui. Mon grand-père et son frère ont reprit contact, mais on va dire que les relations sont plus que glaciales.

Chapitre II : Jeunesse irlandaise et anglaise

On a grandi au château, comme mon père est ministre et ma mère demoiselle d'honneur de la reine. D'ailleurs, ma mère est vampire, d'où mon sang vampirique. Mais du coup, on a nos propres quartiers, ce qui est pas mal. On a grandi pas proches des princesses et du prince, mais on les voyait plus souvent que d'autres nobles. Bon, quan dil faisait méga beau, on courait moins dehors, parce que le soleil nous gênait. Mais de ce fait, on a grandi dans la royauté et la religion permanente, et c'est quelque chose de très important, pour nous. On a tous été baptisés, on a tous eu des rituels de purification quand nous en ressentions le besoin, et on ne manque pas une seule fête religieuse. On ne dirait pas comme ça, mais je suis très croyant, et si je devais me marier un jour, je veux que ce soit dans la plus grande des traditions religieuses irlandaises.

Mais avant de penser mariage, quand j'étais petit, je pensais école. Contrairement à la princesse Louve, je savais que moi, j'allais aller à Poudlard. Alors, le jour de mes 11 ans, quand je reçus ma lettre, j'étais tout excité. Je n'avais qu'une hâte, celle d'aller sur le Chemin de Traverse pour acheter mes fournitures, et aller à l'école. Et, comme prévu, j'ai adoré Poudlard. J'y suis entré en septembre 1986, où le Choixpeau fut incapable de me répartir. Il hésita entre presque toutes les Maisons, et finalement, il m'envoya à Gryffondor. Pourquoi ? Parce que je lui avais dit que ke rouge m'irait bien au teint.

Chapitre III : Une très (trop ?) longue scolarité

J'ai obtenu des BUSE et des ASPIC parfaites, suffisantes pour aller à l'Université, dans le cursus politique. Même si je ne suis pas prêt à être Premier Ministre, je sais que ce sera mon futur job, donc autant bien me préparer, nan ? Je pris un appart étudiant assez sympathique à vivre, et j'écrivais régulièrement à mes soeurs. Mióróis rentra à Poudlard en septembre 1994, alors que j'entamais ma L2, et Rós Dearg en septembre 1995. J'ai toujours été proche de mes soeurs, on s'écrivait régulièrement. C'est aussi pendant mes études que je découvris le plaisir de la cuisine. Vivant seul, il fallait bien que je me nourrisse, nan ? Bah j'adore ça, cuisiner. Ça me détend de suivre une recette. Et puis ça occupe bien mes mains et mon esprit, donc je trouve que c'est un bon compromis. Quand je disais que je détestais m'ennuyer, bah, je ne m'ennuie jamais quand je fais de la gastronomie. Ouais, parce que sang pur, donc goûts de luxe, je ne fais que de la gastronomie. Bon, parfois je fais des plats simples mais quand j'ai pas trop le temps.

Mon moral tomba un peu dans mes chaussettes quand je rentrais en master. Mes soeurs et mes parents partirent, durant l'été 1996, aux USA. Mes parents avaient entendu parler du retour du Seigneur des Ténèbres, et mon père s'était violemment disputé avec son cousin, le père d'Eoin. En effet, Yoric était totalement du côté des Mangemorts, donc, fou de rage, mon père a voulu mettre un océan entre lui et son cousin. Un peu dramaqueen si le contexte n'était pas aussi tendu. Ils me proposèrent de les suivre, mais je refusais. Je voulais continuer mes études en Angleterre.

Chapitre IV : Blooddale et thèse

Une fois ma famille partie, j'avais un peu le moral dans les chaussettes. Je vous l'ai dit, j'adore ma famille, donc je ne les voyais pas autant que d'habitude, ce qui me minait. Et comme, objectivement, j'étais bon en cours, et malgré mon mémoire, j'avais du temps à tuer. Je décidais alors de fonder mon bar, Blooddale. Avec les tensions actuelles et cette connasse prénommée Ombrage qui détestait les hybrides et créatures, je ne dis pas tout de suite que c'était un bar de créatures, mais, une fois la guerre finie, je pus le dire plus franchement. Alors certains sorciers m'évitent toujours, mais depuis que Hermione Granger m'a fait de la pub, j'ai plus de clients, même de simples sorciers.

Maintenant que mon bar prenait de l'ampleur, je ne voulais pas me concentrer que sur ça alors que mon Master touchait à sa fin. Pour continuer de m'occuper, je décidais de faire une thèse sur les conflits sorciers, parce que ça me fait marrer de comprendre pourquoi on se tapait dessus. Et puis comme ça, ça m'occupait bien pendant trois ans ! Mes parents et mes soeurs me rendirent visite en juin 2001, pour ma soutenance. Et c'est là qu'ils me firent la surprise de m'annoncer qu'ils revenaient en Irlande. Enfin, mes parents reviennent en Irlande, Mióróis rentrait à l'UMS et Rós Dearg en septième année à Poudlard. Mais ça me fit remonter mon moral d'un seul coup, et je passais mon été entre mon bar et les aider à déménager. Maintenant que j'ai finis mes études, j'aide de temps en temps mon père en irlande pour apprendre sur le terrain les ficelles du terrain. Mais tant qu'il ne compte pas se retirer, je compte bien profiter de la vie !