Fontanges Aliénor Marie

🙚 Nom Prénom : Aliénor Marie Fontanges
🙚 Avatar : Ashley Benson
🙚 Âge : 22 ans
🙚 Date & lieu de naissance : 13 mai 1979, Paris
🙚 Statut de Sang : Sang-Pur
🙚 Origines : Française & Polonaise
🙚 Espèce : Sorcière
🙚 Genre : Femme
🙚 Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle
🙚 Ancienne Ecole : Beauxbâtons
🙚 Ancienne Maison : Capétien
🙚 Anciennes Options : Couture sorcière & Métamorphose
🙚 Club : Aucun
🙚 Année d'étude : 3e année
🙚 Cursus :  Communication & Information Sorcières
🙚 Langues parlées : Français, Polonais, Anglais



Caractère

Avant, j'étais du genre avoir confiance. Douée dans les études, positionnée dans les critères de beauté, j'avais tout pour moi. Ca cultivait ma confiance en moi. J'aimais aller en cours, traîner avec des amis, passer du bon temps. Je ne refusais aucune expérience, je n'avais pas peur de grand-chose, et j'avais la bougeotte. Vous voyez le genre !

Je mordais la vie à pleine dents,le seul problème était ma relation aux autres. Je pardonnais trop facilement, tout en accordant trop facilement ma confiance. Ca se ressentait dans ma relation avec mes copains par exemple, qui se terminait toujours assez mal par des nons-dits, des tensions, des rancunes. Je laissais passer beaucoup de choses avant d'exploser de colère.

J'avais donc un caractère plutôt vivant. Mais ça, c'était avant. Maintenant, je suis beaucoup plus flippée. Un rien me fait sursauter. Je n'arrive plus à accorder ma confiance. Je n'arrive plus à sortir m'amuser comme avant. Je suis beaucoup moins souriante, parce que je vis dans une espèce de bulle noire qui m'empêche de retourner à mon ancienne vie.

Physique

Je suis la noble française que l'on s'attend de voir. Blonde aux yeux bleus, une taille moyenne de 165 centimètres avec des formes où il faut, je sais représenter par mon look et mes coupes de cheveux l'élégance et la mode française. J'essaie toujours d'être bien aprêtée, même si les jours où je ne me sens pas à l'aise, j'aime adopter un look plus sombre, en me teignant les cheveux, par exemple. Ca m'aide, de pouvoir ainsi changer d'image. Tout comme les vêtements et mes coiffures, j'aime changer de bijoux : la taille, la couleur, la forme... Il y a juste une chose qui ne change jamais : je porte à l'annulaire gauche une bague en forme de branche de lauriers, que je n'enlève jamais. Que je ne peux pas enlever, en fait. Un sortilège a été lancé dessus, pour que personne ne puisse me la retirer, pas même moi. Dernier fait sur moi : j'aborde deux cicatrices. Une trace de morsure dans le dos, qui n'a jamais disparu ; et la marque d'une césarienne au bas-ventre. Je n'aime ni l'une, ni l'autre, et je fais tout pour les cacher : par les vêtements, par exemple. Pour celle du dos, je mets du maquillage ou je laisse mes cheveux détachés pour la dissimuler.




Histoire

🙚 Chapitre I ~ Fontanges et Enfance
Je suis issues de deux deux familles Sang-Pur. Ma mère s'appelle Beate Fontanges, née Drymörk. Issue d'une famille polonaise, elle n'aime pas trop retourner dans son pays d'origine, chez ses parents, depuis que sa soeur Ester est partie sans donner aucune nouvelle. Mon père, Jean Fontange, est français. Il descend de la célèbre Marie-Angélique de Scorailles, Duchesse de Fontanges, la favorite du roi Louis XIV.

Toute la famille est sorcière, depuis longtemps, et ils ont toujours réussi à passer entre les mailles du filet. D'où notre descendance assez... Prestigieuse, et le sang-pur. Il fait autorité à la fois dans le monde sorcier français, mais aussi du côté moldu. En effet, il reste quelques illustres familles nobles, assez coincées mais avec qui il est facile, apparemment, de faire affaire.

Je suis née à Paris, mais j'ai grandis dans le château de Cropières, la résidence secondaire de mes parents. Maintenant, quand je leur rends visite, c'est à Paris, là où ils vivent et travaillent. J'ai une grande soeur, Jeanne, et une petite soeur, Isabeau. Les prénoms de mes soeurs, et le mien, ont tous été inspirés par les reines françaises. Malgré cet étalage de culture, mes soeurs et moi-même n'avons pas été élevées dans le snobisme le plus total. Ok, on a conscience de notre milieu et on a eu l'éducation qui va avec, mais contrairement à certains, je n'ai pas grandi avec une nourrice, un majordome, et tutti quanti.

🙚 Chapitre II ~ Scolarité à Beauxbâtons et l'Université Magique Supérieure
C'est après cette enfance heureuse que je rentrais, en septembre 1990, à Beauxbâtons. Je fus envoyée chez les Capétiens. J'ai tout aimé dans cette école. Je me sentais à ma place, dans cette école qui ressemblait à un château, avec l'uniforme qui m'allait bien au teint et les cours passionnants. Je développais un attrait pour la Métarmophose, que je découvrais passionnant, et surtout à l'Initiation des Sept Arts Magiques.

J'adorais cette matière. J'apprenais plein de choses, je découvrais plein de choses, et surtout, j'adorais devoir écrire des devoirs dessus, pour faire des comptes-rendus pour les autres élèves, ou pour les profs. J'aimais faire les recherches, en faire un condenscé bien écrit. Et cela se ressentait dans mes notes. J'étais excellente dans cette matière. Tous les ans, il y avait des prix de remis pour les quelques devoirs qui étaient excellents. La plupart était raflé par ceux qui obtenaient les COQ, parfois par ceux qui obtenaient leurs PAINS. Ce fut mon cas. J'étais la première étudiante en huitième année, depuis 1959, à obtenir un prix pour le meilleur devoir en Initiation des Sept Arts Magiques. La cérémonie des prix suivait la remise de diplômes. Non seulement j'avais obtenu mes PAINS, je pouvais rentrer à l'UMS, mais en plus, j'avais gagné un prix.

A l'Université, je savais ce que je voulais faire. Principalement grâce à cette Initiation aux Sept Arts Magiques. Je voulais devenir journaliste. Je voulais devenir une pointure dans ce domaine, devenir un nom respecté pour mon travail, et pas seulement que par mon nom en France. C'était l'avantage de l'Angeleterre, je n'étais rien, hormis une Sang-Pur étrangère. Je devais faire mes peuces et cela m'allait. J'aimais l'ambiance des expositions, des premières. Je voulais être invitée, mettre mes plus belles tenues, prendre mes plus beaux carnets pour prendre le plus de notes possible, et écrire des articles vibrant qui feraient trembler les artistes à la simple évocation de mon nom.


🙚 Chapitre III ~ Le basculement
En septembre 1998, après 8 ans à Beauxbâtons en France, je partis en Angleterre pour rentrer à l'Université Magique Supérieure. Je rentrais en communication, un cursus parfait pour devenir journaliste en trois ans. Et je m'é-cla-tais. Les cours étaient passionnants, je me faisais des tonnes d'amis, j'allais en soirée. J'eus quelques petits amis, même si ce n'était pas le côté le plus épanouissant de la relation. Disons qu'ils avaient pas mal tendance à me prendre pour une conne. « Désolé, bébé, mais je peux pas passer te voir ce soir, j'ai match avec les potes. » « Désolé, bébé, je sais que tu es malade mais j'ai promis d'aller à cette soirée. » Vous voyez le genre ? Le dernier en date s'appelle Jordan. Quand j'entrais en 3e année, en septembre 2000, cela faisait un an environs que nous sortions ensemble. Mais cette année était coupée de ruptures et de remise en couple. Ce salaud passait son temps à me tromper et à revenir en rampant. Et moi, trop conne et amoureuse, je lui pardonnais à chaque fois.

Le vendredi 13 octobre 2000, j'étais allée boire dans un bar, toute seule. Jordan m'avait avoué une nouvelle fois qu'il avait dérapé, et nous nous étions disputés. A ce stade, je ne savais pas vraiment où nous en étions. Toujours ensemble ? Je devais le larguer ? Je me posais toutes ces questions, en tête-à-tête avec mon verre quand un homme m'aborda. Il fallait avouer qu'il était vraiment pas mal, et puis lui, il s'intéressait réellement à moi. On passa une partie de la soirée à boire et discuter, et les choses finirent par déraper. Dans un lit. C'était vraiment incroyable, y compris après le sexe, où il était assez tactile. Mais ça m'allait. Ça changeait de tous mes exs… Jusqu'à ce que ce malade me morde dans le dos. C'était un fucking vampire, et il était en train de boire mon sang ! Je finis par le dégager, pour me barrer. Hors de question d'être traitée comme de la viande ! Je rentrais chez moi, fatiguée par l'alcool, le sexe, tout. Mais au moment où je posais mon sac sur le meuble de l'entrée, je sentis qu'on posait un mouchoir de chloroforme sur mon nez.

J'avais beau avoir été kidnappée, je me réveillais dans ma chambre. Qui n'était pas ma chambre. J'étais loin de tout, dans un bâtiment isolé, à la merci du type avec qui j'avais couché, qui avait refait ma chambre à l'identique. Et c'est là que je me rendis compte à quel point il était fou. Pour avoir des affaires à moi, et me connaître aussi bien, il devait m'avoir suivie pendant des mois. Et moi, je ne m'étais rendue compte de rien, et je l'avais laissé me séduire. Cerise sur la tarte à la mélasse : j'étais enceinte de lui. J'accouchais de ma petite Nina le vendredi 13 avril 2001, alors que j'étais toujours enfermée dans ce bâtiment.

Au final, ma captivité dura un an et 7 mois. Malgré une fugue ratée, malgré une tentative de suicide loupée, jamais il ne me fit de mal. Physiquement. Il m'avait déjà privée de lumière, de nourriture, ou même de ma fille quand il estimait que je n'en faisais qu'à ma tête. Mais jamais il ne me blessa physiquement. Le jour de mon anniversaire, le 13 mai 2002, on finit par me retrouver. Je fus transportée à Sainte-Mangouste quelques jours avec Nina, pour vérifier que tout allait bien. C'est à ce moment-là que je sus que mon ravisseur était ambassadeur, qu'il avait participé à mes recherches et que mes parents l'adoraient. J'avais tellement que je fus incapable de dire que c'était lui qui m'avait kidnappée. j'en fus incapable. Maintenant, je devais supporter son amitié avec mes parents. Je devais supporter la présence de Jordan qui culpabilisait et ne voulait pas me lâcher. Je n'avais qu'une hâte : retourner à l'UMS en septembre 2002, pour terminer mon année, et reprendre une vie normale.




La boite à questions

🙚 Une anecdote à nous partager ? Mon second prénom, Marie, me vient de la reine Marie Leszczyńska. C'était une Polonaise montée sur le trône de France grâce à son mariage avec Louis XV. C'est ma mère qui a tenu à m'appeler comme ça.  
🙚 Quelles sont/étaient tes matières préférées à l'école ? A Beauxbâtons, j'ai toujours aimé l'Initiation aux Sept Arts Magiques, ce qui semble logique, comme j'ai gagné le prix du meilleur devoir depuis quelques années. Et à l'Université, j'aimais les cours qui se concentraient sur le journalisme et la communication.
🙚 Quel est ton sortilège préféré ? Je n'ai pas de sortilège spécifique préféré. Mais j'ai toujours aimé les sortilèges de Métamorphose. Je trouve ça fascinant de pouvoir prendre une chose, et de la transformer en une autre.
🙚 Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? J'ai su le faire pour l'obtention de mes COQ. Il prenait la forme d'un Parnassius apollo. Mais maintenant, je n'arrive plus à le faire.
🙚 Quel est ton Epouvantard ? J'ai eu la chance de ne jamais en voir. Mais je pense que si je devais en croiser un, je reverrais ma chambre.
🙚 Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? Elle est en bois de sapin, avec une plume d'oiseau-tonnerre, et elle mesure 26,7 centimètres.
🙚 Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ? Je sens le laurier-rose et les jardins de Delphes. Un lieu que j'avais visité petite, et dont l'odeur m'avait particulièrement marquée.


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~ I feel you holding me ~