Thyra H. A. Thorvaldsen
ຊ Nom Prénom : Thyra Hedwige Asta Thorvaldsen
ຊ Avatar : Nina Dobrev
ຊ ge : 20 ans en apparence, 89 ans en réalité
ຊ Date & lieu de naissance : 26 mai 1913, Danemark
ຊ Statut de Sang : Sang-Mêlé
ຊ Espèce : Sorcière et vampire (depuis 1933)
ຊ Genre : Femme
ຊ Orientation Sexuelle : Lesbienne
ຊ Ancienne Ecole : Durmstrang (de septembre 1924 à juin juin 1931), UMS (de septembre 1931 à juin 1942)
ຊ Ancienne Maison : Dyr
ຊ Anciennes Options : Anglais & Arithmancie
ຊ Ancien Club : Sherwood’s Club
ຊ Cursus : Médicomagie
ຊ Poste occupé : Médecin légiste (depuis juin 1942)
ຊ Spécialité(s) : Magie du Sang
ຊ Langues parlées : Danois et anglais, un russe rouillé, un peu de portuguais et de chinois
Caractère
Je pense que tout le monde mérite une seconde chance. Je pense avoir vécu suffisamment longtemps et avoir rencontré suffisamment de personnes pour pouvoir l'affirmer. Je pense que chaque histoire mérite d'être écoutée, d'être soutenue. Peut-être que c'est mon opinion de médecin, encore plus légiste quand je dissèque des corps, qui me fait dire ça. Mais je pense que avoir vécu comme une femme lesbienne et vampire dans un monde mysogine, dans une société qui considérait l'homosexualité comme un crime et qui continue de rejeter les vampires m'aida à adopter cet état d'esprit.
Peut-être que je suis naïve, qui sait. Mais je pense être capable de faire la différence entre une personne qui fait le mal parce qu'elle souffre, et une personne qui est réellement diabolique. Je suis assez observatrice, et curieuse. Curieuse de ce qui a pu amener les gens à faire de un certain genre de choix. Par moment, je comprends les psychologues, même si je préfère clairement soigner les maux physiques que mentaux.
Je suis prête à aller vers les gens, mais il me faut du temps. Il m'a fallu du temps pour retrouver ma famille, par exemple. Pas parce que c'était dur, mais parce que je ne me sentais pas prête. Traitez-moi de lâche, si il le faut. Mais le fait de prendre mon indépendance dans une société où la femme appartient à l'homme m'a obligée à avoir une certaine forme de caractère, qui me sert toujours dans le monde moderne. Mais c'est dur de retourner voir ses racines, par conséquence.
Physique
J'ai beau avoir 89 ans, je n'ai pas une seule ride ! Mon secret ? L'immortalité. Oui, je sui devenue vampire à mes 20 ans, alors, ça aide… J'ai donc gardé un air juvénile. Je porte des lentilles marrons pour cacher mes yeux rouges, et mes canines sortent quand je sens du sang. Je suis brune, les cheveux longs, que j'aime boucler ou lisser, selon mes envies. Je suis grande avec 170 centimètres au compteur, et comme je ne mange plus, et que je danse toute la nuit depuis des années, je suis relativement mince. Bon, je pense que la mode Sang-Pur du début du XXe siècle n'a pas aidé, mais passons.
Histoire
ຊ Chapitre I : Fødsel og familie
Je suis née le 26 mai 1913 au Danemark. J'avais déjà un grand frère, de deux ans de plus que moi, Mads. Ce n'est même pas un surnom, c'est son vrai prénom. Bien que je sois la seconde enfant de la famille, je suis la seule à ne pas être née dans la maison familiale. Je n'ai pas su tout de suite pourquoi, et quand j'étais petite, cela ne m'intéressait pas. J'étais trop occupée à courir derrière Mads malgré les robes longues, ou à jouer avec mon petit frère Christian. Entre quelques cours de bienséances, quelques bals par-ci, par-là, nous vivions heureux.
Ce n'est que quand j'ai commencé à grandir, vers mes 6, 7 ans, que j'entendis les premières rumeurs. Alors que Mère avait toujours été enceinte dans la demeure familiale, j'étais la seule où elle avait été à la campagne pour sa grossesse et son accouchement. Pendant 6 mois. Je n'ai jamais compris pourquoi, mais je voyais bien les regards suspicieux des amis de mes parents sur moi. Et, très rapidement, mon père commença à parler mariage. Les mariages arrangés étaient monnaie courante dans les familles Sang-Pur, encore plus dans la fin des années 1910. On ne perd pas facilement ce genre de tradition qui a perduré pendant des siècles. Mais là, la première fois qu'il en parlait, j'avais 8 ans.
Mads disait toujours qu'il y avait une bonne raison pour que Père insiste autant, et invite autant d'amis avec des fils. Il ne faisait pas ça pour lui, qui était quand même l'héritier de la famille, ou Christian. Non, il faisait ça pour moi. Sûrement parce que j'étais une fille ? C'était la théorie de Mads. Mais on n'eut jamais le temps de l'approfondir, car il partit à Durmstrang.
ຊ Chapitre II : Uddannelse og sandhed
Mads rejoignit Uzem, et moi Dyr, deux années plus tard, en septembre 1924. Christian arriva un an après moi. Évidemment, Durmstrang, dans les années 20, était un concentré de misogynie perpétuel. C'était la période, me direz-vous. Il n'empêche que c'était parfois bien compliqué d'être une jeune fille en jupe dans une école froide, entourée de gars plus débiles les uns que les autres, surtout ils savaient que mon père cherchait à me marier. Heureusement que Mads était là. Déjà, il était plutôt populaire avec sa tête de beau gosse, et il empêchait les emmerdes. Mais comme il y avait toujours de gros cons, il m'avait apprit à me défendre. Hop, petit coup de genou bien placé. Hop, petit sortilège réalisé dans le dos. Et le tour était joué.
C'est quand j'eus 14 ans que tout changea. Un groupe d'élèves plus vieux commença à me traiter de bâtarde de la famille. Plusieurs fois. Et alors que j'allais finir par rétorquer (sûrement avec un sortilège de croche-patte), l'un d'entre eux me raconta que sa mère était infirmière, et elle lui avait confié que je n'étais pas une Sang-Pur. Je lançais quand même ce sortilège, alors qu'il était dos à des escaliers. Au moins, avec cette chute, les autres ne m'embêtaient plus avec cette histoire. J'allais voir ce gars à l'infirmerie, pour qu'il me raconte toute l'histoire.
Apparemment, ma mère avait couché avec un sorcier Sang-Mêlé. Trois mois plus tard, elle allait à la campagne se cacher pendant six mois, vivre sa grossesse et accoucher d'une petite fille. Moi. Je n'étais donc pas la fille de mon père. Au début, j'avais du mal à le croire. C'était débile, comme idée. Mais il fallait que je prouve que c'était faux, et Mads accepta de m'aider. Il était le seul à savoir, comme il avait entendu parler de l'« accident ». Comme à Durmstrang, on étudie la Magie du Sang, et que j'étais plutôt bonne dedans, je me servis de ça. Je notais le nom de nos deux parents. Mon frère me passa un peu de son sang, et avec un sort, le sang se dirigea lentement vers les deux noms. Ok, au moins, on avait la preuve que le sortilège marchait. J'essayais avec le mien. Il n'alla que vers ma mère.
Je n'étais pas une Thorvaldsen à part entière. C'est ce que j'appris, ce jour-là. Et ça expliquait pas mal de choses. Pourquoi ma mère avait été à la campagne, pour sa grossesse. Pourquoi mon père tenait absolument à me marier. Pour me caser avec un bon parti avant que l'on ne découvre la vérité. Que je n'étais pas Sang-Pur. Alors, je vrillais. Enfin, disons que j'en avais plus rien à faire, des conventions. J'ai décidé d'être moi-même. Thyra Thorvaldsen, bâtarde au sang mêlé, qui aime les femmes.
C'est toujours quelque chose que je savais, au fond de moi. Mais comme je savais que c'était quelque d'interdit dans ma famille, je m'étais toujours retenue. Sauf que je n'étais qu'une demie, donc, je n'en avais plus rien à faire. Je commençais à sortir avec les femmes. Cachée, bien sûr. Il n'y avait pas que mes parents qui n'accepteraient pas ; toute la société. L'homosexualité était illégale. Évidemment, ma famille l'apprit. Mon père se mit en colère, me disant qu'il allait me marier dès la fin de Durmstrang, pour que j'arrête de tâcher son nom. C'est là que je lui dis. Que je savais. Que je n'étais pas sa fille. Et que si il essayait de me marier de force, je dévoilerai la vérité au monde sorcier. C'est là qu'on passa un marché : je taisais le secret sur la famille et je continuais de jouer à la parfaite Sang-Pur, et en échange, il me laissait avoir de « très proches amies ».
ຊ Chapitre III : Universitet og vampyr
Je rentrais en septembre 1931 à l'Université Magique Supérieure. Les femmes y avaient accès depuis un moment (à croire que les sorciers étaient plus progressistes que les moldus), mais elles prenaient majoritairement des cursus dits féminins : éducation, couture, secrétariat, et j'en passe. Parfois, des études d'infirmières. Moi ? Le médical me branchait bien. Mais je ne voulais pas être la bonniche des médecins misogynes. Non, je voulais être médecin. Alors ouais, quand je commençais mes années de médecine, mon père serra un peu les dents. Sa fille unique, toujours pas fiancée, qui avaient beaucoup trop d'amies (au féminin, s'il vous plaît), embrassait une carrière d'homme !
Mes années d'études se passaient bien, malgré l'ascension de Grindelwald. Il ne venait pas beaucoup en Angleterre, selon les rumeurs parce qu'il craignait Dumbledore. Alors ouais, je pouvais étudier tranquillement, si on oubliait les hommes qui essayaient de me reléguer comme une infirmière. Durant l'été 1933, pour se changer les idées, et pour prendre du bon temps, on décida, avec Mads, de voyager dans l'Europe. On visita la France, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la Grèce. Puis on remonta un peu au Danemark pour une fête familiale, avant de partir visiter la Bulgarie, la Pologne, la Russie. C'est à ce moment-là que tout bascula.
Vous vous souvenez quand j'ai dit que Grindelwald ne venait pas beaucoup en Angleterre ? Les rumeurs disaient qu'il se trouvait en Europe de l'est. Je pouvais le confirmer, ainsi que ses partisans. Un jour, dans un accès de folie, ses partisans décidèrent de s'attaquer à une rue commerçante sorcière. Ce jour-là, j'avais le malheur de me trouver dans la rue pour chercher un nouveau chapeau. Ce jour-là, je fus transformée en vampire. Je n'ai jamais su par qui.
Mads m'apporta toute l'aide qu'il put, et tout le soutien dont j'avais besoin. Il m'aida pendant quelques jours à m'habituer à ma nouvelle condition, jusqu'à un nouvel assaut de ces mêmes partisans. Cette fois, ce fut Mads qui fut blessé, gravement. Tellement gravement qu'il allait mourir. Alors, dans un élan de ce que je pourrai qualifier de folie, je mordis mon frère, avant de briser son cou, et de lui faire boire mon sang. Je ne pouvais pas le perdre. Je ne voulais pas le perdre. Alors, égoïstement, je le transformais en vampire.
On finit par quitter notre lieu de vacances, pour rentrer au Danemark, sonnés par cette mésaventure. Sauf que Père découvrit notre nouvelle nature. Difficile de cacher nos yeux rouges, que nous ne mangions plus, que nous ne dormions plus, que nous ne respirions plus. Qe nous avions du mal à adapter notre nouvelle vitesse, notre nouvelle force. Il m'accusa de tout. Je pense que le fait que je devienne vampire était la goutte de trop. Non seulement j'étais une bâtarde qui aimait les femmes, mais en plus, j'avais été transformée ne vampire, et j'avais transformé son héritier Il me vira de la maison. Franchement, ça n'avait pas été une grosse perte… Surtout que Mads vint avec moi. Père ne pouvait pas le regarder dans les yeux, et lui-même ne supportait pas la manière dont j'avais été traitée. Alors, on prit tous les deux la route.
ຊ Chapitre IV : Et nyt liv
Avec Mads, on termina nos études à l'Université. Après tout, Grindelwald ne venait pas, nos parents vivaient au Danemark… Nous pouvions vivre encore un peu en Angleterre. L'avantage de ma nouvelle nature était que les hommes de l'Université me laissaient tranquille. Ils avaient trop peur de moi. Je menais mes études brillamment. Comme je ne dormais pas, j'avais tout le loisirs de réviser, c'était un gain de temps formidable. La seule ombre au tableau était l'inscription de mon plus jeune frère à l'UMS. Il n'avait qu'un an de moins que moi, alors, forcément, il était scolarisé, lui aussi… Et il nous évitait. Il avait prit le parti de Père, et était devenu le nouvel héritier de la famille Thorvaldsen.
Quand je fus diplômée médecin légiste en 1942, on décida, avec Mads, de voyager. On allait en Asie visiter la Thaïlande, la Chine, le Japon, la Malaisie, l'Inde. On supportait mal le soleil au début, mais au moins, on vit plein de choses. J'appris la base du chinois pour me dépatouiller, mais l'anglais était très bien aussi. En Perse, dans les années 50, on rencontra un vampire, nommé Loki, dans une fumerie d'opium. A ma décharge, c'est Mads qui m'a entraînée là-dedans ! C'est là qu'on croisa Loki. On fuma toute la nuit, avant de boire toute la journée qui a suivie. Loki est... Particulier. Du genre à tester toutes les manières de mourir, sans vouloir mourir. Juste pour le fun. On resta quelques mois ensemble, avant que Loki ne disparaisse du jour au lendemain. Je lui en voulais vraiment, sur le coup, mais bon. On quitta alors la Perse. L'avantage de tous ces voyages était que j'approfondissais mes connaissances en médecine, en plus de soigner tout ceux que je trouvais sur mon passage. Et être vampire nous donnait un côté libre que nous ne connaissions pas. On escaladait des montagnes, on visitait des grottes dangereuses, on marchait le long des falaises… Et on fuyait dès qu'on sentait que les populations me trouvaient un peu trop indépendantes.
On resta une vingtaine d'année en Asie, avant de partir cette fois en Amérique. J'avais trouvé un job dans un petit hôpital de campagne, mais on vivait à New-York. En journée, je travaillais tranquillement ; la nuit, on goûtait à l'ivresse de la fête et de la vie. C'est ainsi qu'un jour, en 1968, avec Mads, on rencontra un autre vampire. Lorenzo Peretti. Il n'était pas vampire depuis longtemps, et le chagrin le rongeait. Il avait perdu une femme, un fils ; puis une famile vampirique ; et enfin, son neveu et sa sœur jumelle. Avec Mads, on le prit sous notre aile. On prit soin de lui, on soignait son chagrin, on l'emmenait dans nos aventures. On lui montrait les avantages d'être vampire : danser toute la nuit ; être ivre sans subir la gueule de bois par notre pouvoir de guérison ; faire toutes les activités considérées comme dangeureuses sans crainte de la mort. On voulait lui montrer le côté fun de la vie de vampire : lui montrer qu'il avait l'éternité devant lui. Lorenzo devint très proche de nous, on était un groupe de meilleurs amis, à trois. Il resta deux ans avec nous, avant qu'il ne veuille reprendre sa vie en main. C'est ainsi qu'en 1970, il décida de retourner à l'UMS, et avec Mads, on parti en Amérique du Sud continuer notre tour du monde. Il n'y a pas un jour sans que je ne pense à lui, et que je me demande ce qu'il devient.
On passa plusieurs années à parcourir l'Amérique du Sud. J'étais toujours en quête de nouvelles connaissances en Médicomagie, je cherchais toujours à m'améliorer. Quand avec Mads on apprit la montée d'un nouveau Seigneur des Ténèbres, on ne chercha pas à revenir en Angleterre. A la place, on s'installa au Brésil, et je pris le job d'infirmière à Castelobruxo. Ça nous permettait de rester connecté avec la communauté sorcière, et d'en apprendre plus sur le fameux Vous-Savez-Qui. Et puis, pour une fois que je travaillais avec les vivants, et pas avec les morts !
Dans les années 80, juste après la défaite de Vous-Savez-Qui contre un bébé, Mads me laissa, pour la première fois. Il retourna en Angleterre, curieux de avoir ce que devenait notre famille. Quand il revint, quelques mois plus tard, il m'annonça que Christian, notre plus jeune frère, avait eu trois enfants : Bjørn, Anton et Cathinka. Bjørn et Anton étaient mariés à des anglaises, et Bjørn avait un fils, un certain Joachim. Il n'avait pas cherché à aller les voir, estimant qu'il n'avait pas à le faire seul. Mais on se doutait surtout que nos noms avaient été effacés de la famille.
On hésita longuement à rentrer, mais finalement, le retour du Seigneur des Ténèbres nous en empêcha. Disons surtout qu'on avait tellement peur de l'accueil qui aurait pu nous être réservé qu'on avait prit le premier signe pour rester au Brésil. Jusqu'en avril 2002. Une ancienne élève de Castelobruxo, une certaine Elizabeth Brooks, mariée Thorvaldsen, était venue parler de son métier aux étudiants. J'avais tout fait pour l'éviter, ne voulant pas qu'elle fasse le lien avec mon nom de famille que je n'avais pas changé. Mais quand elle parla de sa fille Margrethe, je me rendis compte que j'avais envie de revoir ma famille. Si le retour du Seigneur des Ténèbres avait été vu comme un signe pour ne pas rentrer, découvrir que l'on avait une petite-nièce changeait tout, non ? Alors, on décida de rentrer en Angleterre rencontrer la petite Maggie. Je démissionnais de mon poste d'infirmière, je me servis de la venue de Lizzie pour avoir les infos qu'on avait besoin, et on se mit en route pour retrouver notre famille.
La boite à questions
ຊ Une anecdote à nous partager ? L'un des avantages d'être médecin légiste est de pouvoir avoir du sang quand j'ai très soif. Ok, il est pas hyper frais et pas hyper bon, mais ça dépanne bien quand je ressens une grande soif. Depuis que je suis rentrée en Angleterre, je me fournis au Blooddale, et par Merlin, c'est trop bon ! Si je dois repartir dans un autre pays, je ferai commander des bouteilles.
ຊ Quelles étaient tes matières préférées à l'école ? A Durmstrang, j'ai toujours aimé les cours de Magie du Sang. J'étais très douée, et ça m'a servi en médecine. Et à l'UMS, je dirais tous les cours pratiques, mais surtout les stages. J'adore triturer des cadavres, pour connaître tous leurs secrets !
ຊ Quel est ton sortilège préféré ? Je dirais tous les sortilèges médicaux. Même si je m'occupe de morts, ça ne m'empêche pas de soigner les vivants. Mais si je devais n'en retenir qu'un, je dirais Recurvite, qui nettoie les tables d'autopsie en une seconde top chrono.
ຊ Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? Au bout de 89 ans, heureusement que je sais faire un patronus ! Un merle bleu. Il paraît que c'est le symbole du féminisme dans certaines cultures, ce qui me va. Au fond, mon frère dit toujours que je suis indépendante. Il n'y a qu'à voir ma relation avec ma famille pour s'en rendre compte !
ຊ Quel est ton Epouvantard ? La solitude la plus totale, je pense. Quand j'y pense, dans toute ma vie, je n'ai jamais été seule. Mads a toujours été là pour moi. Je pense que c'est l'une des raisons pour lesquelles je l'ai transformé : je ne voulais pas qu'il me laisse seule.
ຊ Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? Elle est en bois de sycomore, avec comme cœur une corne de basilic et mesure 27,5 centimètres.
ຊ Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ? Je sens la cannelle, comme Mads. Un truc de famille ? Et je sens aussi la citrouille. Peut-être que le jus de citrouille me manque, depuis que je suis devenue vampire ?
ຊ It was love, in your eyes, Now it haunts me every night ຊ