Sanguandikul Prachaya
ϟ Nom Prénom : Prachaya Sanguandikul
ϟ Avatar : Phakphum Romsaithong (aka Mile)
ϟ Age : 45 (physiquement 25)
ϟ Date & lieu de naissance : 14 Février 1957, à Bangkok en Thaïlande
ϟ Statut de Sang : Sang-Pur
ϟ Espèce : Vampire
ϟ Genre : Homme
ϟ Orientation Sexuelle : Homosexuel
ϟ Don(s) : Fourchelang
ϟ Poste occupé : Hôte au 7e Ciel
Caractère
L’important chez Shay est de faire du monde son terrain de jeu. Jusqu’à ses 25 ans, sa joie de vivre et son énergie ont été bridées et retenues alors, depuis qu’il le peut, il fait tout pour s’amuser un maximum. Il adore faire la fête, rencontrer du monde, flirter entre tant d’autres choses, tant que ça le divertit. Shay est quelqu’un qui redoute le silence et l’ennui. Le thaïlandais ne recule devant presque aucun défi, ne crains pas grand chose et est même attiré par le danger, par l’adrénaline, et tout ce genre de choses.
Vrai rayon de soleil, blagueur et charismatique, il est difficile d'ignorer Shay quand il rentre dans une pièce… Particulièrement parce qu’il impose sa présence bruyamment. Il n’est pas du genre à poser calmement dans un coin et de s’effacer, bien au contraire. Shay fera toujours de son mieux pour qu’un maximum de regards soient posés sur lui et que les projecteurs soient rivés sur sa personne. Il adore être le centre de l’attention.
Nombreux sont ceux qui pensent Shay narcissique. Ça n'est pas vraiment le cas : Shay est loin de se penser supérieur à ses pairs ou de se penser parfait. Il est, en réalité, très confiant et à l’aise dans sa peau. Il n’a également pas peur de s’assumer, alors s’il a l’air égocentrique, c’est simplement à cause de tout cela. Malgré tout, là où Shay se voit comme un bel homme avec une belle personnalité, il n’hésitera pas à encourager ceux qu’il trouve tout aussi beaux extérieurement et intérieurement à se voir comme tels.
Au fond, Shay est un personnage que l’on aime ou que l’on aime pas, c’est aussi simple que ça, et le thaïlandais comprend les deux cas de figure. Sa présence bruyante peut énerver ou embêter certaines personnes là où elle peut en motiver et amuser d’autres. Fondamentalement, Shay n'est pas un mauvais gars, au contraire. Il adore s’amuser et il veut montrer à toutes les personnes qu’il apprécie les bons aspects de la vie. En gros, il veut vivre pleinement et ce aux côtés de ses nombreux amis. Son rêve est que toutes les personnes qu’il aime s’éclatent un maximum et prennent pleine conscience de leur potentiel et de ce que la vie a à offrir de beau. Loyal, gentil, compatissant et toujours prêt à accourir pour aider un ami dans le besoin, il est indéniable que Shay est très bon ami, ou du moins qu’il fait tout pour.
Par contre, si Shay n’est pas méchant ou du genre à s’amuser à blesser ses pairs — plutôt protecteur de nature, il n’aura pas peur de montrer un visage tout à fait différent face à ceux qu’il n’aime pas. Shay n’est pas hypocrite : il ne fera pas semblant d’aimer quelqu’un qu’il n’apprécie pas à moins d’avoir une bonne raison de le faire. Le thaïlandais sait doser ses actions vis-à-vis de ce qu’il a contre vous. En d’autres termes, la façon dont il traitera un ennemi dépendra de ce que ledit ennemi aura fait pour mériter que Shay ne l’aime pas. Si la raison est modique, il se contentera d’être froid et sec quand il aura à s'adresser à la personne. Si réellement cette dernière aura fait quelque chose de mauvais et/ou aura blessé une personne chère à Shay, l’homme n’hésitera pas à frapper fort. Une fois que Shay entre dans une colère noire, il devient une autre personne… Oubliez le rayon de soleil immature : il sera cruel et sadique, capable de traquer sa victime et de lui faire vivre l’enfer jusqu’à l’achever quand il sera lassé des tortures.
Vous l’aurez compris, mieux vaut faire de Shay votre allié que votre ennemi.
Physique
Quand il était petit, Shay était un gamin rondouillet pas particulièrement charmant. Dès qu’il en a pris confiance, lors de sa préadolescence, il a préféré se donner à fond pour devenir, physiquement, l’homme qu’il rêvait d’être, plutôt que de s’apitoyer sur son sort. Mélangez cette motivation au fait que, dans la famille Sanguandikul, il est impératif d’être très sportif… Et vous obtiendrez le Shay d’aujourd’hui, éternellement âgé de 25 ans (et éternel beau gosse, si vous le lui demandez).
Vous l’aurez compris : Shay est un homme bien bâti de par le sport qu’il fait régulièrement et assidûment. Il est même inscrit à une salle de sport moldue à laquelle il se rend trois fois par semaine, souvent le lundi, le mercredi et le vendredi. Haut de 1m85, Shay regarde un bon nombre de personnes de haut, littéralement. Il a la peau claire qui pâlit de plus en plus au fil des années depuis qu’il est devenu vampire. Les yeux de Shay sont d’un noir profond, de la même couleur que ses cheveux lisses qu’il laisse rarement pousser jusqu’à ses épaules.
Après avoir été transformé en vampire, Shay s’est un peu laissé aller et il s’est avéré que ses cheveux pouvaient bien pousser s’il ne les coupaient pas, et qu’il lui poussait une moustache et une barbe s’il ne se rasait pas.
Pour ce qui est des vêtements, Shay aime beaucoup s’habiller classe. Il est, et a toujours été, très à cheval sur la mode. Inutile de lui demander ce qu’il choisira entre le style et le confort : pour lui le style est le confort. Shay ne craint pas d’en faire trop en se baladant en costume et, d’ailleurs, la plupart de ses tenues sont taillées et faites sur-mesure. Bien sûr, il arrive à Shay de se laisser un peu aller et tenter par une tenue moins chère et luxueuse — après tout il n’est pas complexé et il s’habille bien pour le plaisir, non pas pour se donner de grands et beaux airs.
Histoire
Né à Bangkok en Thaïlande le jour de la Saint-Valentin de 1957, Prachaya Sanguandikul est le premier enfant d’une future fratrie de dix garçons. Aîné ne veut pourtant pas dire “mature” et Shay aura, dès l’arrivée de ses premières responsabilité, du mal à accepter les poids qui lui pèsent sur les épaules : le fait d’être l’aîné, de représenter une famille de Sang-Purs, de savoir se tenir pour honorer son nom et surtout l’image des Sanguandikul. Shay est très jeune, il veut s’amuser, profiter, se faire des amis… Il ne veut pas apprendre ses langues, ses instruments, ses manières — quand bien même papa et maman lui répètent qu’il est très doué, qu’il apprend vite, qu’ils sont fiers. Il s’en fiche, tiens, que papa et maman soient fiers. Il ne veut pas s’occuper de ses petits frères. Il ne veut pas faire de longs discours et participer aux fêtes qui n’amusent que les adultes et qui durent des heures et des heures. La seule chose qu’il aime c’est les séances de sport.
Shay est un garçon qui a besoin de se dépenser, de s’agiter, de se faire entendre… Et surtout de se découvrir en tentant des expériences. Mais ses parents ne peuvent pas accepter ça, pas d’un de leur enfant, encore moins de leur aîné. Même lorsqu’ils essaient d’être stricts, Shay est indiscipliné. Parfois il fait des efforts mais ceux-ci ne durent jamais bien longtemps. Alors, désespéré, les parents de Shay font appel à un homme réputé pour avoir discipliné les enfants les plus turbulents. Cet homme deviendra le précepteur des enfants Sanguandikul et le cauchemar de Shay.
Très vite, le jeune sorcier, alors âgé de onze ans, comprend quelque chose : son précepteur n’est pas là pour plaisanter et ne compte pas faire dans la dentelle. Aux premières bêtises de Shay, aussi petites soient-elles, tombent des punitions. D’abord, le précepteur de Shay se contente de remontrances. Puis il tape sur ses doigts. Puis l’adulte comprend que Shay sera un cas particulièrement complexe et il passe au niveau supérieur : il enferme l’enfant dans une pièce vide durant des heures pour le punir puis, lorsqu’il l’en sort, il lui administre des coup de fouets à même la peau tout en forçant Shay a répéter un texte, jurant de mieux se tenir à l’avenir et de ne jamais récidiver.
Très sévère, cette méthode porte pourtant très bientôt ses fruits. Lorsqu’arrive le jour de son douzième anniversaire, Shay est un garçon changé. Il est sage, il ne parle pas fort ni sans qu’on l’en lui donne la permission, il suit assidûment ses cours à la maison comme à l’école, il obéit, il ne s’agite plus. Là où sa famille fête le nouvel enfant sage qu’est devenu Shay, lui se retrouve infiniment triste, privé de sa lumière, de ce qui le rendait “vivant”.
Le précepteur de Shay décède alors que ce dernier est âgé de seize ans et, enfin, le jeune sorcier est libéré des sévices de cet affreux homme… Pourtant il ne retrouve pas son énergie. Après des années à marcher au pas bien sagement, Shay a encore peur de s’exprimer librement. Il est pourtant grand, fort et personne ne remarque sa détresse intérieure. Shay paraît toujours droit, sérieux mais jamais triste ou en colère. Ça aussi il l’a appris de son précepteur : il ne faut pas geindre, encore moins lorsque l’on naît dans la richesse et le confort.
Shay ne reçoit que des compliments ; “comme il est beau !”, “comme il a grandi !”, “quelle intelligence!”. Il joue de nombreux instruments et chante, il parle de nombreuses langues, il est très éduqué… Shay fait la fierté de la famille Sanguandikul et, comme on attend de lui, il transmet ces valeurs à ses petits frères. Petits frères qui le trouvent beaucoup moins intéressant et amusant, comme grand frère, que lorsqu’il était lui-même, avant l’arrivée de son précepteur.
Les mois passent et, doucement, la personnalité de Shay refait discrètement surface. Il arrive peu à peu à se débarrasser de la crainte de se faire punir et retrouve un peu de joie de vivre. Devant ses parents, Shay se tient à carreau mais, derrière leur dos, il profite enfin de respirer et de vivre. Il se fait des amis, parfois il fait le mur pour aller s’amuser avec eux, il redevient un grand frère amusant qui apprend les plus drôles des bêtises à ses petits frères.
Tout cela ne dura malheureusement pas.
Un beau jour, Shay se trouve un ami bien spécial : un serpent enfermé dans le vivarium d’une famille que les Sanguandikul visitent pour parler affaires. Le garçon se met à discuter avec le reptile sans voir le mal et s’attache même à ce dernier qu’il libère pour l’emmener chez lui et le cacher dans sa chambre. Malheureusement, la vérité se sait très bientôt alors que l’un des petits frères de Shay raconte innocemment à sa mère qu’il a vu son aîné parler avec un serpent, intrigué par ce fait. Eisly Sanguandikul fait très vite le lien avec son amie dont le serpent se serait échappé peu après qu’ils l’aient visité et en parle à son mari : Shay recommence ses bêtises et ils refusent tous deux de laisser les choses se faire jusqu’à ce qu’il devienne à nouveau intenable.
Ils décident de marier leur fils.
A ce moment-là, Shay l’ignore encore, mais, depuis tout petit, il est dit qu’il épousera une femme britannique d’une lignée noble portant le nom d’Euphemia Rowle. Les Sanguandikul et les Rowle prennent très vite contact et conviennent d’une date pour les épousailles de leurs enfants. Ça n’est que lorsque la date est fixée que les parents de Shay informent leur fils de cette histoire, espérant que, prévenu au dernier instant, il ne puisse se défiler. Et ils visent juste : bien que fou de rage, Shay ne peut rien faire. Il n’ose rien faire.
A dix-sept ans, Shay Sanguandikul épouse Euphemia Rowle, alors âgée de quinze ans, et le jeune homme quitta la Thaïlande pour vivre à Londres avec sa femme.
Shay n’est pas du tout amoureux, là où Euphemia semble s’attacher bien vite à son époux. Le thaïlandais pense que la sorcière est juste trop jeune et qu’elle s’imagine dans un conte de fée, mariée à son prince charmant, là où lui est plus terre à terre. Il essaie sincèrement d’apprendre à aimer Euphemia… Mais il n’y a rien à faire : il ne la désire sous aucun aspect. En fait, il est même repoussé par la jeune femme chaque fois qu’il s’agit d’étreintes plus ou moins intimes entre les deux époux.
Les années passent et Shay évite un maximum de passer du temps avec son épouse. Il sort souvent avec ses amis, il prétend parler business avec eux, il fait beaucoup de sport… Il s’occupe bien, en somme, et prétend être bien trop épuisé pour donner de son temps à sa femme lorsqu’il rentre, tard le soir. Bien sûr, Shay n’arrive pas à échapper à son devoir conjugal chaque fois, mais ses petites machinations fonctionnent tout de même bien souvent.
Euphemia en est malheureuse, comprenant que Shay ne l’aime ni ne la désire et pense être le problème ; ne pas être assez belle, assez intéressante… Elle se donne pour se faire plus jolie, pour discuter plus souvent avec Shay — parfois même le courant passe lorsqu’ils discutent… Mais rien de concret n’en ressort, alors la jeune femme vient demander conseil à sa propre mère.
Une fois ses propres parents et ceux de sa femme impliqués, Shay subit une nouvelle pression : celle de devenir père à tout prix. Les deux familles attendent avec impatience que leurs enfants leur donnent une descendance et cela se fait attendre… Jusqu’en 1976, année où Euphemia tombe enfin enceinte.
Le 1er Avril 1977, alors que Shay est âgé de 20 ans et que Euphemia va sur ses 18 ans, la jeune femme donne naissance à un petit garçon qui portera le nom de Piamchon Sanguandikul. Très vite, son père le surnommera plus communément “Mile”.
Contre toute attente, Shay va aimer son fils. Il va l’aimer très fort et même accepter cette vie d’homme marié pour ce garçon. Les cinq premières années de la vie de Mile, Shay sera là. Il l’élèvera avec amour, lui enseignera des choses aussi belles qu’intéressantes et, surtout, s’assurera que son fils soit heureux et puisse s’exprimer pleinement. Euphemia aimera également son fils d’autant plus que, indéniablement, Mile aura rapproché ses parents. Shay, toujours pas amoureux de Euphemia, fera des efforts en tant que mari simplement pour assurer le bonheur de Mile.
Puis un beau jour, en 1982, Shay va abandonner sa famille.
Euphemia et Mile ne le sauront jamais mais ce sera à contre cœur que Shay fuira le foyer. Ami avec des personnes qui ne l’auront pas qu’emmené dans de bonnes directions, et amoureux du danger, Shay va se frotter à la mauvaise famille et s’en faire une ennemie. Shay sera retrouvé par un membre de cette famille, un vampire, qui va tenter de le tuer. Les choses vont se passer si rapidement que, encore à ce jour, Shay est incapable d’expliquer comment il a survécu. Tout ce qu’il sait c’est qu’un instant il était à l’agonie sur le sol et que, l’instant suivant, il se relevait dans la peau d’un vampire.
Quand il comprit qu’il n’était plus le même, Shay eut envie de retourner chez lui, avec Euphemia et Mile, et de ne jamais en sortir, mais une évidence s’imposa à lui : quoi qu’il l'ait sauvé ne pourrait sûrement rien faire si on s’attaquait à sa famille. Retourner chez lui signifierait mettre Mile en danger… Alors il s’en alla. Il quitta Londres pour retourner en Thaïlande.
Le but de Shay était d’abord de retrouver sa maison, ses parents et ses frères mais, une fois à Bangkok, quelque chose l’en empêcha. L’idée de retourner dans la maison de son enfance l’angoissé. Il changea donc d’idée et choisit d’aller s’installer à Pattaya, de son côté.
La vingtaine d’années qui suivirent furent aussi rapides que longues et voilà comment elles se déroulèrent :
Shay vécu un long moment à Pattaya, sortant très rarement, déprimé. Il refusait d’accepter être un vampire, il était malheureux d’avoir dû abandonner son fils… Il se sentait seul, perdu, et il ne voyait plus l’intérêt à rien. Il apprit, à cette période, que ses parents étaient décédés et qu’il avait touché un héritage très important, alors il n’avait même pas besoin de sortir pour travailler.
Le temps guérit les blessures, cependant, à ce que l’on dit… Et ce fut le cas pour Shay. Doucement, il commença à sortir de chez lui à nouveau, à rencontrer du monde, à apprendre à maîtriser sa nature de vampire, à la connaître… Il se remit doucement à vivre.
Puis de là, Shay retrouva la joie de vivre et son énergie. Il avait l’éternité devant lui à présent, il était libre ! Il n’était plus enfermé chez ses parents avec leurs règles, il n’était plus forcé à vivre la vie du parfait mari avec Euphemia… Le monde était redevenu, pour la première fois depuis ses onze ans, son terrain de jeu. Shay se mit à voyager énormément et à profiter à fond. Encore un peu perdu dans sa nature de vampire, il vivait principalement la nuit pour ne prendre aucun risque.
Les années suivirent leur cours sans que Shay ne fasse quelque chose de concret de sa vie. Rien d’autre que de rattraper le temps perdu et ces années à rester le petit garçon sage qu’il était… De son vivant.
Et puis, un beau jour, l’idée lui vient. Shay célèbre la nouvelle année 2001 à Pattaya et, lors de la fête qu’il fréquente alors, il rencontre des anglais avec qui il discute beaucoup jusqu'à en être nostalgique de son temps passé à Londres, du moins au-delà de sa vie d’homme marié. Le temps est passé, Shay n’a jamais entendu parler de la famille qui voulait sa peau depuis, il décide qu’il peut retourner en Angleterre.
Shay arrive donc à Londres en Janvier 2001 et la ville lui ouvre ses bras. Comme lors de chacun de ses voyages, il est pressé de commencer à s’amuser.
Pendant une bonne année, il grandit. Il accepte pleinement plusieurs facettes de sa personne auxquelles il s’accommodait jusqu’alors. Il n’est plus question de subir et d’accepter silencieusement, il veut les clamer haut et fort. Londres apprend à faire connaissance avec le vrai Shay Sanguandikul : ce vampire homosexuel confiant en lui et amoureux de la vie.
Un an plus tard, le jour de son 45e anniversaire ouvre un bar à hôtes.ses à Londres et Shay voit cela comme un signe : Enthousiaste à l’idée de tenter l’expérience, Shay retrouve la gérante du bar, appelé le 7e Ciel, et discute avec elle pour la convaincre de l’embaucher en tant qu’hôte. Non seulement il réussit son coup, mais il devient, au passage, le meilleur ami de cette femme, une certaine Artémis.
Nous sommes en 2002 et l’année réserve encore une myriade de surprises à notre cher vampire…
La boite à questions
ϟ Une anecdote à nous partager ? J’ai des méchantes cicatrices sur le dos qui datent de l’époque où mon précepteur me fouettait pour me punir. Je ne laisse que très peu de gens les voir et encore moins de personnes y toucher. Elles ne me rappellent pas de bons souvenirs…
ϟ Quelles sont/étaient tes matières préférées à l'école ? J’ai toujours adoré le vol. C’est très simple, je sais, mais j’adorais exécuter des acrobaties dans le ciel, cheveux aux vents, totalement libre. Sinon, tout ce qui se rapportait au sport me plaisait énormément.
ϟ Quel est ton sortilège préféré ? La formule qui change les verres d’eau et verres de rhum, s'il-vous-plaît !
ϟ Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? Effectivement, je sais faire cela. Mon Patronus prend la forme d’un tigre. Ce qui est plutôt stylé, je l’avoue.
ϟ Quel est ton Epouvantard ? Je revoie la silhouette plus ou moins claire de mon précepteur lever le fouet sur moi. Rien ne me terrifie plus que les flashbacks de ces punitions.
ϟ Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? Ébène, Crin de Sombral, 25cm
ϟ Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ? L’odeur du sang, d’un parfum masculin et de l’alcool.
O blood type. Handsome. Cool. Smart. And clever.