Leomie A. T. J. Kim-Winslow
ϟ Nom Prénom : Kim-Winslow, Leomie, Annabeth, Tabitha, Joy
ϟ Avatar : Jung Ho Yeon
ϟ Âge : bientôt 24 ans
ϟ Date & lieu de naissance : 5 avril 1978 & Belgravia, Londres (The Berkley Spa)
ϟ Statut de Sang : Sang-Pure
ϟ Espèce : Sorcière
ϟ Genre : Femme
ϟ Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle
ϟ Don(s) : Potions (seulement capillaires)
ϟ Ancienne Maison : Serdaigle
ϟ Options : Etudes de Runes, Arithmancie
ϟ Année d'étude : 5ème (retirée de l'UMS en 1997 par ses parents)
ϟ Cursus : Médicomagie
ϟ Langues parlées : Anglais (C2), Français (B2), Latin (C1)
Caractère
Je ne suis pas une personne si exceptionnelle que cela, bien que je ne récolte que les louanges et les compliments sur mon passage. Intelligente, serviable, gentille et je ne prononce jamais un mot plus haut que l’autre en public. Je ne dirais pas que je suis parfaite, mais j’essaie. De part mon éducation Sang-Pure, je possède un sang-froid à toutes épreuves : je peux rire à une phrase pas drôle et frôlant clairement avec les limites de la décence si elle est dite par un enfant de membre influent du Ministère, ou un collègue de mes parents. Savoir tenir sa langue et mentir – ou plutôt, détourner poliment la vérité – est une qualité inestimable pour quelqu’un dans ma position. Bien sûr, j’ai certaines opinion bien arrêtées sur les autres, mais je fais toujours très attention à tenir ma langue en présence d’oreilles indiscrètes. Et même devant des connaissances. Il faut que je sois très proche de quelqu’un pour oser me lâcher devant mes amis – et encore, je dois être sûre et certaine que je connais assez de leurs méfaits pour leur accorder ma confiance. Si je sais que je peux les faire tomber, je sais alors qu’ils ne me trahiront pas.
Mais pour autant, je ne suis pas une personne méchante. Loin de là, même. Je sais me montrer douce, amicale avec tous, même avec des Nés-Moldus. Je ne dirais pas que j’en ai parmi mes proches, mais je ne vais pas les insulter si j’en croise un dans les couloirs de l’Université. J'aime être entourée d'un petit groupe de proches, avec qui me détendre des longues soirées où je portes (avec joie, je ne me plains pas) un masque sociale. Que ce soit lorsque je fais les magasins entre amis ou juste boire avec modération pendant les fêtes étudiantes, je ressens toujours une certaine forme de tension, de contrôle de mon image. Mais encore une fois, je ne me plains pas : si c'est le prix à payer pour la perfection et l'admiration de mes semblables, je trouve que le prix n'est pas si élevé.
Physique
Je pense être de taille plutôt moyenne pour une anglaise, j’atteins les 1 mètres 76 sans talons. J’ai appris bien vite que cela pouvait m’être utile, autant pour attirer l’attention des garçons que pour porter des robes haute-couture lors des réceptions de mes parents. Avec mes yeux marrons et mes cheveux noirs, j’avais des caractéristiques plutôt banales à la sortie de Poudlard. Néanmoins, j’ai pût apprendre à trouver ma marque de fabrique : certains le font de par leur attitude, la façon dont ils s’habillent ou se maquillent. Moi ? J’ai pris l’habitude de me teindre les cheveux en rouge en utilisant une de mes potions capillaires. C’est le plus grand acte de rébellion – le seul, en fait – que je n’ai jamais fait. En rompant avec mes cheveux noirs coupés courts, j’ai eu l’impression de devenir une nouvelle personne après avoir été retiré de l’Université pendant presque un an.
Histoire
Chap I – Becoming me was the greatest creative project of my life
Commençons par le début de mon histoire : je suis née dans le quartier de Belgravia, à Londres, dans une des chambres de l’hôtel Berkley pendant les vacances de ma famille, ce qui n’était pas vraiment dans leur projet. J’avais quelques jours ou semaines d’avance, ce qui fait dire à ma mère que je n’ai jamais été une personne vraiment patiente dans la vie. Elle me connaît bien, malheureusement. Je suis donc la benjamine d’une famille de quatre enfants, une famille anglaise influente et de Sang-Pure, bien évidemment. Ma mère, Jézabel, Sang-Pure anglaise, s’est mariée à un de ses collègues Sang-Pur de son Département, Éphraïm Kim-Winslow, puis à mis au monde successivement quatre filles. Bref, c’est au matin frisquet du 5 avril 1978 que j’ai pointé le bout de mon nez, un peu trop vite au goût de mes parents qui n’ont pas pût aller à Sainte-Mangouste pour l’accouchement.
J’ai passé mon enfance entre le manoir familial du Surrey et l’appartement de mes parents à Londres duquel ils travaillaient parfois, bercée par les histoires que me racontaient mes sœurs et les pleurs de la plus jeune de la famille, les leçons et les quelques remontrances de nos précepteurs – rares, j’étais une élève modèle, bien évidemment. Suivant les années, je changeais de précepteurs ou sœurs préférées, et ce fut à peu près la seule chose remarquable de cette période. Mes parents aimaient et aiment toujours nous présenter à leurs collègues et à leurs amis, et avec nos prénoms au complet, s’il vous plaît. Ils sont très fière d’en avoir trouvé seize aussi originales : à chaque introduction d’Eileen Piper Circé Imogen, de Faith Reyna Nyx Gwyneth, de moi et de Willow Hazel Morgana Destiny doivent se rajouter la liste de nos talents, qualités et étalage de bonnes notes. Cela ne me dérange pas, car j’aime l’admiration polie qui brille dans les prunelles de mes interlocuteurs, même si je sais que Willow a un peu plus de mal avec cela.
Chap II – Sometimes you have to do what is right and damn the consequences
Comme le voulait l’ordre des choses, je suis rentrée à Poudlard en septembre 1989, où j’ai été répartie à Serdaigle comme Eileen. J’ai pris les options que me proposaient mes parents, j’ai remplie mon devoir de bonne petite fille en ayant des notes oscillant de l’Effort Exceptionnel à l’Optimal, j’ai participé à certaines activités incontournables de Poudlard (club, tutorat, et tutti quanti) et j’ai même lié quelques amitiés utiles pour plus tard. À la fin de ma septième année, mes parents m’ont donné le choix pour la poursuite de mes études et ma future vie : Médicomagie ou Droit Magique. Me sentant un peu en rébellion avec ma famille (il n’y a qu’à voir la coloration que je me fis quelques années plus tard), j’ai décidé contre toutes attentes que la Médicomagie me tendait les bras. J’ai réussi à m’accrocher durant la première année j’ai commencé à plonger lors de ma seconde mais mes parents ont pris une décision qui a sauvé les apparences : ils m’ont retiré de l’Université en novembre 1997, craignant pour ma sécurité. Ils ont aussi retiré Faith, mais n’ont pas eu le droit pour Willow, encore à Poudlard. Eileen, quand à elle, travaillait déjà. Nos parents avaient peur que leurs métiers (Juges du Mangenmagot et Conseiller de Justice Magique) fassent d’eux – et donc de nous – des cibles privilégiées pour les Mangemorts. Je n’ai donc aucun souvenirs traumatiques de cette période, ponctué pour moi surtout par de longues phases d’ennui et d’attente.
J’ai heureusement pût réintégrer l’Université un an plus tard, recommençant une seconde deuxième année. Néanmoins, après un an passé dans notre manoir du Surrey avec ma sœur, sans plus aucun emploi du temps à respecter et d’examens à réviser, j’avais pris un retard considérable sur mes camarades. Je suis passé de justesse. Mais pour le premier trimestre de ma troisième année… contre tout mes principes, j’ai dû recourir à un usage exceptionnel de la triche pour ne pas avoir à faire face à la honte du redoublement. Ce fut pour moi comme un électrochoc, tellement violent que je me mis à travailler deux fois plus qu’avant la guerre. Je finis même par me découvrir une véritable passion pour la Médicomagie, que je n’assume pas vraiment. J’ai toujours eu peur que quelqu’un découvre la vérité sur moi, que je ne suis au final qu’une fraude, mais tout cela me semble tellement loin, surtout avec les évènements et les attentats récents, que j’ai finis par me dire que jamais personne n’en saura rien. Après tout, j’ai été discrète, n’est-ce pas ?
La boite à questions
ϟ Une anecdote à nous partager ? Lorsque j'étais petite, j'avais un chien qui était tout mon univers. Un Loulou de Poméranie. J'ai été si triste quand il est mort que je n'ai jamais demandé de nouveau d'animal à mes parents, mais je ne peux pas m'empêcher de m'arrêter devant chaque chien qui me le rappelle dans la rue.
ϟ Quelles sont tes matières préférées à l'école ? Je n'en avais pas vraiment à Poudlard - à part peut-être le latin, car cela me permettait de briller devant les adultes des réceptions de Sang-Pur. Maintenant que je suis à l'Université, je me suis découverte une passion pour les cours de Médicomagie et d'Anatomie Humaine. Bien évidemment, je préférais qu'on m'éviscère plutôt que de l'admettre publiquement.
ϟ Quel est ton sortilège préféré ? Vulnera Sanentur, un des premier sortilèges que nous avons appris en cours de Médicomagie.
ϟ Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? Bien évidemment, c'est un Loulou de Poméranie.
ϟ Quel est ton Epouvantard ? Je n'ai pas toujours été parfaite dans ma vie, bien que j'essaie de le cacher. Ma plus grande crainte est, qu'un jour, quelqu'un découvre que j'ai triché pour mes examens de troisième année.
ϟ Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? Aulne (très adapté pour les sortilèges informulés) et cheveu de Vélane, très rigide.
ϟ Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ? La richesse, le pouvoir et l'influence (safran, ébène et patchouli)
. La meuf prévois tellement loin, j'adore !
