McCarthy-Iceni Aslinn
♟ Nom Prénom : Aslinn McCarthy-Iceni
♟ Avatar : Matthew Gray Gubler
♟ Âge : 26 ans
♟ Date & lieu de naissance : En Irlande, l'année 1975 (date de naissance précise inconnue) Officieusement 14 juillet 1975
♟ Statut de Sang : Sang-mêlé
♟ Espèce : Sorcier Loup-garou
♟ Genre : Homme
♟ Orientation Sexuelle : Hétérosexuel
♟ Don(s) : Aslinn maîtrise à la perfection la transformation et le contrôle de son loup.
Il a une mémoire eidétique (ou mémoire absolue ou photographique) il a une capacité à retenir des scènes très complexes, ou encore une grande quantité d'images, de textes ou de sons, dans les moindres détails.
♟ Année d'étude : Aslinn a trois doctorats : psychologie , sciences sociales, philosophie.
♟ Poste occupé : Psychomage de Banríon na Bpálás, soldat à Diabhal (tactique et statistiques)
♟ Spécialité(s) : Sciences cognitives (notamment animale)
Caractère
Bien que bardé de Doctorat qui laissent entendre qu'il connaît tout sur les relations humaines, Aslinn a parfois de (grosses) lacunes pour ses propres relations. S'il connaît tout dans son milieu, l'Irlande, les Loups, le Palais, c'est parce qu'il n'a jamais vraiment quitter ces terres, en dehors de certaines missions. Il aime ses repères, ses habitudes. Et quand il n'est pas dans une situation familière ou dans son domaine, il peut être maladroit et mal à l’aise en société. Aslinn n'a jamais aimé être au devant de la scène, il ne pourrait pas être à la place de son cousin ou ses cousines. Il est reconnaissant d'avoir eu Mélody pour mère, la louve de l'ombre, il n'a jamais souffert d'être l'enfant caché et secret de la famille royale, bien au contraire, il n'aurait pas eu les épaules pour être un Roi. Il se moque d'ailleurs très souvent de son cousin Bleddyn quand il doit prendre la parole de manière officielle, il n'a jamais osé se moquer de Louve, car il a bien trop peur d'elle pour le faire.
Aslinn a pu être observateur, spectateur et beaucoup apprendre des autres de cette façon. Il a une pensé analytique et peut lire des textes à la vitesse stupéfiante de 20 000 mots par minute. Il se perd souvent dans des longues explications ou des digressions sans fin quand un sujet le passionne, d'ailleurs son cousin et ses cousines ont pris pour habitude de lui demander d'en venir au fait ou de se taire quand il digresse. Malgré ces chamailleries bon enfant, Aslinn est une mine d'informations pour ses pairs, il a toujours une notion d'un sujet (quand il ne le maîtrise pas parfaitement), grâce à sa mémoire il est un atout majeur à Diabhal.
Aslinn est loyal, fidèle, généreux. C'est un homme et loup patient, sa gentillesse et sa sensibilité fait de lui quelqu'un d'attachant.
Bien que sociable, il peut se montrer solitaire. Dans ces moments, il peut disparaître, jamais trop longtemps, seul dans les bois d'Irlande, sous sa forme de loup. Il a besoin de sa nature lupine et sauvage pour se ressourcer et se retrouver. Sous sa forme de loup, son cerveau est plus calme et apaisé. Il recharge ses batteries, c'est sa Madeleine de Proust, il retrouve des sensations familières qu'il a connu dans sa petite enfance, avant Mélody, avant le Palais.
Aslinn est un esprit curieux et cultivé, il a le goût de la connaissance et de la lecture. Plutôt réservé et discret, Aslinn est indépendant. De nature calme, décontracté, il a tendance à se laisser vivre, il a pu vivre dans l'ombre sans les responsabilités de la famille royale. Il a appris le protocole sans en subir la pression.
Physique
Aslinn mesure 1m85. Il est brun aux yeux marron. Il n'a pas le corps athlétique que l'on connaît à tous les soldats de Diabhal, pour autant, il est loin d'être aussi frêle et fragile qu'il en a l'air. Aslinn sait se battre au corps à corps, mais il n'est tout simplement pas aussi discipliné que ses compagnons d'arme pour avoir un physique parfait et taillé au laser. Il aime à dire qu'il est le cerveau et pas les muscles. Mais il reste quelqu'un de tactique et technique et ne perd pas souvent un combat.
Au niveau vestimentaire, il se laisse aisément conseillé car il n'a aucun goût. Il n'a pas honte de dire que c'est souvent ses cousines qui l'habillent. Il aime aussi changé régulièrement de coupe de cheveux (il vous dira cela, mais tout a commencé avec la perte d'un pari avec son cousin Bleddyn). Aslinn a le sourire facile et lumineux, sincère et bienveillant. Mais vous le verrez aussi souvent les sourcils froncés et l'air soucieux quand il a le nez dans ses bouquins, signe qu'il a sa concentration au maximum. Bien qu'il ait un physique peu imposant, il possède une aura très sauvage et puissante. Il n'a jamais été humilié ou moqué à Diabhal (si ce n'est pas son cousin lors de jeux et d'amusements), car son aura lupine naturelle en impose, cela est du au fait qu'il est en parfaite harmonie avec son loup depuis sa morsure et qui le laisse transpirer par ses pores lors des entraînements ou des missions. Dans le milieu il est même craint par beaucoup, son cousin est le seul a le défier en duel sans peur ou appréhension.
Histoire
♟ Chapitre Un ♟
Méridien de sang.
Maintenant des loups s'étaient mis à les suivre, de grands lobos pâles aux yeux jaunes qui trottaient d'un pas net ou s'asseyaient dans la chaleur étincelante et les observaient quand ils s'arrêtaient pour leur halte de midi. Puis ils repartaient. Ambleurs, furtifs, bondissants, leurs longs nez rasant le sol. Le soir leurs yeux papillotaient et cillaient là-bas à la limite de la lueur du feu et au matin quand les cavaliers repartaient dans la pénombre fraîche ils pouvaient entendre derrière eux leur grognement et le claquement des gueules qui saccageaient le bivouac à la recherche de bouts de viande.
Cormac McCarthy
Je ne connais pas grand chose de ma famille, mis à part le nom de mon père McCarthy. Je suis né en 1975, et Melody - « Mam » - ma mère (d'adoption) a choisi mon mois et jour de naissance, précisément ma seconde naissance, le 14 juillet 1975. Elle a aussi choisi mon prénom. Aslinn est un nom moderne dérivé du nom gaélique irlandais Aisling, signifiant "rêve ou vision". Les Iceni, du moins ma mère Mélody Iceni a passé des mois de recherches pour reconstituer l'histoire de ma famille génétique, avant de m'adopter officieusement officiellement. De mes parents biologiques il ne me reste qu'un mausolée secret dans les terres autour du Palais. C'est un endroit où je vais me recueillir une fois par mois. Il n'y a aucun nom, aucune photo, juste de la pierre et une citation. « On oublie ce qu'on a besoin de se rappeler et on se souvient de ce qu'il faut oublier. »
Ce que je sais, c'est que mes parents étaient des Irlandais. Mon géniteur était un sorcier et ma génitrice une moldue. On a été attaqué un soir de pleine lune où j'étais encore un bébé alors que mes parents traversaient les bois (pour je ne sais quelle raison) peut-être étaient-ils marchant ? Peut-être qu'ils fuyaient quelqu'un ou quelque chose ? Quoi qu'il en soit, ils sont mort de leurs morsures, totalement mutilés. Il est possible qu'ils étaient en vie pour la transformation, mais que celle-ci les aurait tué. Moi j'ai survécu. Je n'étais qu'un bébé à peine capable de ramper, et j'ai résisté à la transformation, alors qu'elle n'est rarement possible avant l'âge de 3 ans. Seulement il m'a été impossible d'inverser le processus, et je suis donc resté dans la peau d'un loup sauvage pendant presque 3 ans, élevé par de vrais loups pendant près de 2 ans et demi.
J'ai été trouvé par « Mam » lors d'une mission, elle a su, mieux que personne que je n'étais pas un simple loup, mais un loup-garou, elle a su voir l'homme derrière l'animal. Elle a d'abord passé plusieurs jours dans les bois pour pouvoir m'approcher, puis les jours sont devenus des semaines et des mois. Tout ce temps, elle me rapprochait du Palais pour m'apprivoiser, jusqu'à ce que j'y rentre et y vivent totalement, d'abord par Diabhal, l'endroit était plus secret, discret pour y élever et éduquer un fils. Il m'a fallu 6 mois pour reprendre forme humaine. Un 14 juillet. Le 14 juillet 1978. J'ai du apprendre à marcher à 3 ans et à rester dans ce corps d'humain que je ne connaissais pas, à supporter des vêtements, la verticalité. J'ai du me réinventer, réapproprier un corps inconnu. Mais j'apprenais vite. Comme la lecture, c'est venu tout seul, sans aucun effort ou apprentissage. J'étais très observateur, très prudent, rapidement mon intelligence singulière a su se démarquer, il ne me manquait que la parole, mais je savais très bien me faire comprendre. Les médicomages n'avaient trouvé aucun problème somatique au fait que je ne parlais pas. Mes cordes vocales étaient fonctionnelles. Mais je n'émettais aucun son, je ne pleurai jamais, ne m'exprimer jamais sauf par gestes ou en montrant les choses du doigt. Pourtant je pouvais japper, grogner et hurler les jours de pleine lune sous ma forme de loup.
C'est l'année de mes 4 ans, à la fin de l'année 1979 que j'utilisais mes premiers mots. Cela faisait quelques jours que Louve Iceni était née, ma cousine. Tous les adultes étaient occupés et elle pleurait. J'ai été fasciné dès sa naissance par ce bébé, je ne saurai dire exactement ce qui s'est passé et le lien qui s'est joué entre nous, mais mes premiers mots ont été pour elle, pour essayer de la consoler, et comme je n'y arrivais pas, je suis allé demander de l'aide et j'ai clairement parlé, comme si je l'avais toujours fait. Ma voix était fragile mais mes mots étaient clairs et précis. A partir de ce jour, j'ai arrêté d'être mutique, et ma cousine est celle avec qui je parle et me confie le plus. Instinctivement.
♟ Chapitre Deux ♟
Le Passager.
Je vais aller plus doucement. Le deuil est l'étoffe même de la vie. Une vie sans deuil n'est pas une vie. Mais le regret est une prison. Une part de toi-même qui t'est infiniment précieuse demeure à jamais empalée à un carrefour que tu ne peux ni retrouver ni oublier.
Jusqu'à mes 9 ans, je passais mes journées à apprendre tout ce qu'il y avait à apprendre sur le Palais, les Iceni, en intégrant religieusement les protocoles, les coutumes, les sacres, les rituels, les fêtes, l'étiquette, tout en sachant qu'il fallait que je reste le fils de l'ombre. J'étais malin et brillant, je n'avais jamais besoin que l'on me montre deux fois les choses. En parallèle, étant le fils de Mélody, elle m’entraîna rapidement à devenir un soldat. Elle n'était pas dure avec moi, comme pourrait le penser certains, elle était juste et visionnaire. Elle a toujours cru en moi.
Et quand le soir tombait, je passais mes soirées, mes nuits à lire à peu près tous les livres du Palais et plus encore. Je me suis rapidement passionné pour la psychologie, les sciences cognitives et comportementaliste (notamment des loups). Je n'ai pas passé une seconde à me morfondre sur mes tragédies, à pleurer mes parents biologiques par exemple. Je ne me suis jamais senti comme un orphelin, j'étais riche d'une famille ouverte et bienveillante. J'ai eu la meilleure éducation possible et les meilleures opportunités. J'ai pu grâce à l'enseignement particulier à domicile, étudier ce que je voulais, à la vitesse que je souhaitais. J'ai pu être qui je voulais et faire ce que j'aimais sans la contrainte que pouvaient avoir mon cousin et mes cousines. « Mam » en abandonnant son accès au trône ma offert une place de choix, et avec ce privilège j'ai fait en sorte d'être un soutien sans faille pour Bleddyn, Louve et Accalia, je les ai toujours soutenu, encouragé, rassuré, et peut-être aussi un peu emmerdé, mais j'ai toujours était présent pour eux. J'ai assuré leur arrière à la manière d'un frère et c'est ce que je pense que nous somme, une fratrie.
J'ai toujours été en avance pour mon âge, alors j'ai pu passer de nombreux diplômes, et le côté Royal m'a ouvert des opportunités folles. C'est pour cela qu'à seulement 26 ans j'ai 3 doctorats. Cela n'a pas toujours été une évidence que je sois le psychomage de Banríon na Bpálás, cela s'est fait de manière naturelle, j'aime à dire que le métier m'a choisi et non l'inverse. Très vite « Mam » a vu que les soldats étaient mieux après m'avoir parlé après une lourde mission, je trouvais les mots, les maux. C'était facile pour moi, je ne me suis jamais forcé à écouter et aider. La première fois que je l'ai fais finalement c'est avec Louve, elle pleurait et je devais l'aider. J'ai passé le diplôme de psychomagie juste pour que tout mon travail soit légal et légitime, mais j'ai été l'écoute active du Palais avant d'avoir mon Doctorat. J'ai toujours été ce gamin qui traînait dans les couloirs, un peu fantomatique, un peu secret, qui parlait et rassurait tout le monde. Je connais presque tous les sujets du Palais, leur secret, leur peur, leur mal.
« Mam » m'a déjà dit un jour que j'étais une « arme » à double tranchant, car j'en sais assez sur le Palais pour le protéger ou pour le saborder. Depuis je m'efforce de n'utiliser qu'un seul tranchant, celui dans l'intérêt de ma famille, de mon Palais, de l'Irlande. Je n'ai jamais révélé aucun de mes entretiens et n'ai jamais perdu la confiance de mes patients. Et j'ai conscience de ce que je dois être prêt à faire si jamais je suis sujet à du chantage ou de la torture pour informations.
A l'heure actuelle, il me semble que je ne manque de rien. J'ai une place privilégié alors je ne regrette rien, ne manque de rien, si ce n'est de la présence parfois de mon cousin et mes cousines. A l'UMS ou à Poudlard. Je me langui toujours de les retrouver au Palais. J'ai l'impression d'un manque, d'un vide que je ne sais pas délimiter. Est-ce eux qui me manque ? Quelqu'un dans ma vie ? Car je n'ai personne à qui me confier, avec qui partager mes soirées quand ils ne sont pas là. Je ne dis pas que je suis malheureux, avec mes livres et mon travail j'ai de quoi faire. Je passe mes journées à être dans la micro société du palais, entouré d'humain, de loup-garou, de vampire, mais... je ne sais pas, j'ai une place vide en moi, un espace qui ne demande qu'à être rempli. S'il s'agit de l'amour, d'une compagne, jamais aucune n'a attiré mon attention ou rempli cet espace. Alors je ne pense pas qu'il s'agisse de cela. D'autant plus que je ne suis pas vraiment doué pour l'amour et ce genre de chose, je fais fuir. Je profite de la vie et de toutes les opportunités.
La boite à questions
♟ Une anecdote à nous partager ? Je m'endors n'importe où et rarement dans mon lit. Il n'est pas rare que je me réveille à même le sol, plongé au milieu de parchemins et de livres. Assis à un bureau la tête entre mes bras posés sur mes notes ou recherches. Ou bien dans un fauteuil de n'importe quelle pièce du château un bouquin encore à la main. Quand j'étais petit, Mélody me cherchait partout dans le Palais pour me ramener dans mon lit. Il n'était pas rare que Bleddyn ou Louve me réveillent quand ils arrivaient dans la pièce où je me trouvais, c'est presque devenu un jeu pour eux. Jamais personne ne me l'a reproché ou fait de commentaire.
♟ Quelles sont/étaient tes matières préférées à l'école ? Bien que j'ai toujours été doué dans tout ce qui n'a pas de lien direct avec la magie, comme les potions ou les sortilèges, mais plutôt la psychologie, les sciences humaines et animales. J'ai toujours aimé toutes les matières, ce que j'ai aimé, c'est apprendre et découvrir. Mais j'appréciais mieux mes lectures scientifiques du soir que les cours classiques pour apprendre à être un sorcier.
♟ Quel est ton sortilège préféré ? Ce n'est pas un sortilège, mais je suis un grand adepte de la Pensine. Je me sers de cet outil pour garder en mémoire des entretiens avec mes patients et pouvoir m'en souvenir avec précision lors des séances, même si Mam me dit que je n'en ai pas besoin avec ma mémoire exceptionnelle. Moi cela me permet tout de même d'alléger mon esprit. Et il me sert d'outil aussi parfois pour débloquer des séances avec les patients, pour leur montrer leur évolution, leur progrès, pour décoincer une impasse chez eux.
♟ Est-ce que tu sais exécuter un Patronus ? Sans aucune surprise et originalité, mon Patronus est un loup, il l'a toujours été.
♟ Quel est ton Epouvantard ? C'est un cauchemar récurrent. Je marche dans le palais, il y a du sang partout, sur les murs, les sols, je vais dans chacune des chambres et j'y trouve un corps. Ils sont tous mutilés, les yeux ouverts, ils n'ont pas eu le temps de réagir et de se défendre. Le Roi, la Reine, ma mère Mélody, mon cousin Bleddyn, mes cousines Louve et Accalia. Puis je vais à Diabhal et tous les soldats sont mort. Je suis le seul survivant
♟ Mais, au juste, à quoi ressemble ta baguette magique (bois, cœur, taille) ? Chêne blanc : loyal, exige force, courage et fidélité de la part de son sorcier et s'associe bien aux sorciers dotés d'une puissante intuition et d'une grande affinité avec la nature. Cœur : Ventricule de Snallygaster. Taille : 27 cm.
♟ Quelle odeur sens-tu dans l'Amortentia ? C'est un léger parfum capiteux indéterminé, qui m'attire, m'envoûte. Mais je ne saurai le comparer à quelque chose d'existant que j'ai déjà rencontré dans ma vie. Soit cela n'existe pas, soit je n'ai pas encore croisé cette odeur.